LE BAC C’EST DANS LA POCHE !

LE BAC C’EST DANS LA POCHE !

Deuxième quinzaine de juin, on devrait être en pleine épreuve de BAC. Alors Plongeons nous dans ce que sera ce bac 2020

Grâce à un article paru sur le blog  HUFFEPOST  on peu s’en faire une idée :

Bon tout d’abord soyons rassurés, le troisième trimestre comptera pour du beurre… L’enseignement à distance ne sera pas comptabilisé, mais les notes des épreuves anticipées de première ,elles le seront.

Pour  l’épreuve obligatoire  d’éducation physique et sportive , les candidats obtiendront sans tennis et sans short, comme note finale la moyenne des deux épreuves de contrôle en cours avant la fermeture des lycées.

Pour ce qui est du carnet scolaire  les professeurs ont pu continuer d’évaluer leurs  élèves jusqu’au lundi 15 juin dernier sur leurs notations du dernier trimestre. Si ces notations   ne comptent pas dans la moyenne de l’élève au bac, “elles peuvent faire l’objet d’une appréciation portée par les professeurs sur le livret scolaire afin d’éclairer les travaux du jury sur la motivation et l’assiduité des élèves » Avec un objectif: valoriser les élèves qui ont continué à travailler pendant le confinement et les cours à distance, via internet ou des cours envoyés à leur domicile.

Ce qui semble logique et récompense les efforts des plus assidus.

Une fois le conseil de classe passé, les élèves peuvent accéder à leur livret scolaire pour connaître leurs notes ainsi que les appréciations de leurs professeurs et du chef d’établissement. En calculant leur moyenne générale, pondérée selon les coefficients de chaque matière, ils peuvent d’ores et déjà savoir s’ils ont plus de 10/20, et donc s’ils ont leur bac.

Puis pour garantir l’équité entre tous les candidats, un jury, présidé dans chaque académie par un universitaire examinera les dossiers. En s’appuyant sur les appréciations des enseignants, ils valoriseront les candidats “assidus, mobilisés et volontaires

Le 7 juillet, enfin, la publication des résultats sera maintenue, Les élèves ayant obtenu une note entre 8 et 10 seront amenés à passer la session de rattrapages entre le 8 et le 10 juillet.

Alors on peut se demander quel sera la valeur de ce bac 2020 mais on peut également se figurer ce que sera la futur Bac puisque la réforme du baccalauréat prévoyait déjà d’appuyer cet examen en majorité sur le contrôle continu et le grand oral

Un coup d’essai, donc non voulu mais joué cependant.

Après on peut se poser la question de la valeur de ce diplôme.

Là relayons un extrait d’article datant de septembre 2019 et figurant sur le site web FORBES,

« certains élèves ont tendance à décrocher, parfois dès le collège. Cela veut-il dire pour autant qu’ils ne sont pas capables de s’assurer un avenir brillant ? Qu’ils sont condamnés à effectuer des tâches ingrates et à être soumis aux ordres d’un patron durant toute leur carrière ? Qu’ils n’évolueront pas ou très peu jusqu’à l’âge de la retraite ? Heureusement, les nombreux exemples prouvant que les autodidactes peuvent se forger une place de choix dans ce monde sont nombreux. On ne compte plus les jeunes entrepreneurs dont le parcours scolaire chaotique n’a pas empêché de créer leur start-up, même sans diplôme !

En outre, si le digital ouvre des portes à bon nombre d’autodidactes, ce secteur n’est pas le seul dans lequel il est possible de se faire un nom, même sans diplôme.

effet, la restauration et la grande distribution sont d’autres exemples de secteurs dans lesquels les François Pinault, Jean-Jacques Decaux et autres Xavier Niel de ce monde ont réussi leur carrière. »

Lire l’intégralité des articles cités :
En l’absence d’examen comment savoir si on a eu son bac ? (Huffingtonpost)
Faut il avoir un diplôme pour réussir ? (Forbes)

Apprendre à moins stresser, c’est possible

Apprendre à moins stresser, c’est possible

Comment lutter contre le stress, savoir détecter les éléments déclencheurs

Nous avons 4 types de gouvernance dans le cerveau :
1. Instinctive (l’hypothalamus assure les fonctions vitales réflexes – boire, dormir, copuler – et engendre le stress qui sauve par la fuite, la lutte ou l’inhibition)
2. Grégaire (qui détermine les positions de dominance ou de soumission pour trouver sa place dans un groupe)
3. Emotionnelle (qui emmagasine les connaissances, les découvertes, les savoirs, les compétences pour prendre des décisions dans ce qui est connu)
4. Adaptative (au niveau du cortex préfrontal, c’est la capacité à créer et à aborder l’inconnu)
2 modes mentaux complémentaires
1. Automatique : ce mode mental permet de résoudre le connu.
Le mode mental automatique est :
* Rigide (les décisions prises par milliers sont basées sur la routine et l’habitude)
* Simplificateur (il fonctionne sur un mode binaire : bon/mauvais, blanc/noir)
* Nourri par l’expérience, la culture et l’image sociale
2. Adaptatif : ce mode mental permet d’essayer, de comprendre et d’apprendre, de s’ouvrir à la difficulté (cerveau pré frontal).

Le mode mental adaptatif est :
* Curieux
* Souple (il peut accepter des choses qui déroutent)
* Capable de prendre du recul
* Logique il est à la base du bon sens et de la construction d’une opinion personnelle)
Nous basculons tous les jours entre ces deux modes mentaux.
Les biais cognitifs
Nous avons tous des aversions (des choses qui provoquent des réactions “épidermiques”, disproportionnées ou inconscientes chez nous).
Devant une situation non maitrisée, nous ne pouvons pas réagir avec notre mode automatique. Le cortex pré frontal agit alors comme un poste de pilotage qui voit tout ce qui se passe : il nous renseigne sur nos erreurs. Quand nous restons accrochés à nos idées, le stress devient un signal d’alarme qui nous alerte sur nos besoins.

Stress = stresseur X stressabilité
Stresseur – chose ou personne sur laquelle on jette notre dévolu (le déclencheur)
Stressabilité – notre aversion, notre besoin insatisfait, notre résistance au changement

Pour cheminer vers une existence plus consciente et non violente, notre travail consiste surtout à travailler sur nos valeurs et nos besoins, en d’autres termes sur notre stressabilité. Quand on multiplie un stresseur par 0 (quand on n’est pas stressable), le niveau de stress est à 0 !

Ce travail engendre une possibilité de changer notre vision sur les choses :
* voir le positif dans le négatif,
* raisonner en termes de valeurs et de besoins chez nous et chez les autres dans une situation donnée,
* savoir reconnaître les prémices du stress pour ne pas se laisser envahir par des émotions négatives (colère, irritabilité, exaspération) et adopter des stratégies de non violence (respiration, pleine conscience, communication non violente…),
* identifier nos biais cognitifs, nos croyances (dûs à l’éducation, à la culture, à nos intuitions fausses, à nos stratégies spontanées) et accepter de voir la situation d’un autre point de vue.

A regarder, la conférence TED :

Bonne rentrée à tous !

Bonne rentrée à tous !

Et voilà ! Les vacances sont finies ! On range les maillots de bain et la crème solaire pour ressortir les cahiers et les crayons. Comme vous, le centre Amifor fait sa rentrée cette semaine. Faisons un point sur les nouveautés dans le monde dans l’enseignement en 2018.

Entre la poursuite des dédoublements de classes dans les quartiers défavorisés, la mise en place de nouveaux tests d’évaluation ou encore l’interdiction du portable au collège… Les changements sont nombreux pour cette rentrée 2018 :

  1. Dictée quotidienne dès le CP
  2. Le dédoublement des classes en CP et CE1
  3. L’apprentissage de la Marseillaise en CE2
  4. Un “plan mercredi” pour les élèves de primaire
  5. Le téléphone portable interdit au collège
  6. Un test de positionnement en seconde
  7. Un accompagnement personnalisé

Nous reviendrons plus en détails dans la semaine sur ces changements importants de cette rentrée 2018. On vous laisse d’abord digérer cette rentrée avant de commencer les choses sérieuses pour commencer l’année 2018-2019.

 

Mieux utiliser sa mémoire visuelle – Partie 3

Mieux utiliser sa mémoire visuelle – Partie 3

Après nos petites astuces de révisions pour le bac, Amifor a décidé de vous faire partager d’autres techniques de mémorisation. Comme vous l’avez sûrement déjà constaté, les images aident à se souvenir mais aussi à comprendre et à retrouver les connaissances. Comment mettre à profit notre mémoire visuelle pour réviser ? Chaque semaine, retrouvez une astuce sur le blog Amifor !

Après le mind mapping et les sketchnotes, Amifor vous parle cette semaine des flash-cards. Peut-être utilisez-vous déjà des flash-cards ou cartes mémo pour apprendre ? Il s’agit là d’une technique ludique et efficace pour mémoriser par coeur des mots, des formules, des chiffres et pour vérifier que l’on sait.

Une flash-card est une carte dont les deux côtés associent deux notions sur le mode question-réponse, par exemple un mot d’un côté, et sa traduction dans une langue étrangère de l’autre. Si à la place du mot, vous mettez une image, vous sollicitez la mémoire visuelle, ce qui renforce la mémorisation.

Vous pouvez créer vos propres flashcards, car cela favorise la mise en mémoire. Si possible, faites des flash-cards visuelles : remplacez la question par un dessin, une icône, ou bien associez un symbole visuel à la question (comme une sketchnote). Ensuite, vous vous interrogez (seul ou en groupe) en prenant en main votre paquet de cartes et en les retournant l’une après l’autre. Mettez à part celles pour lesquelles vous ne savez pas répondre et recommencez le lendemain.

Cette technique se révèle très efficace dans l’apprentissage de langues, pour préparer des QCM ou encore pour apprendre des formules ou des définitions par cœur.

LE BAC C’EST DANS LA POCHE !

Jeudi ce que je veux… Sur la fin de l’année scolaire

La fin de l’année scolaire… Nous l’attendons tous impatiemment pour enfin profiter des vacances d’été et ne plus se soucier de rien.. Enfin, de presque rien. Néanmoins, avant de profiter du soleil, il faut réussir à survivre aux examens de fin d’année. Etudiants comme professeurs, c’est une période particulièrement stressante. 

Je suis actuellement en bachelor et j’ai rarement été aussi stressé. Entre les examens de fin d’année qui forcément arrivent tous en même temps, l’anticipation de la rentrée prochaine plus les obligations liées à notre stage.. Mes collègues et moi-même n’avons jamais été aussi nerveux. Et je sais que c’est le lot de beaucoup d’étudiants bien qu’à ce jour, certains soient déjà en vacances. Je n’oublie pas non plus les enseignants et formateurs qui se retrouvent aussi avec un milliard de choses à gérer. 

Parlons un peu de la rédaction des mémoires de fin d’année.. J’imagine que cela rappelle de mauvais voire très mauvais souvenirs à certains d’entre vous. Cette invention du diable qui vous impose de blablater pendant des pages entières sur un sujet de votre choix, sur votre stage ou en réponse à une problématique.. Ou encore ces partiels qui vous imposent de réfléchir pendant plusieurs heures assis sur un chaise jusqu’à ce que votre cerveau n’en puisse plus.. 

Loin de moi l’idée de me plaindre. Chacun de nous sait à quoi s’attendre lorsque nous choisissons le chemin de l’enseignement supérieur. Mais il faut avouer que ces deux derniers mois de mai et de juin sont comparables au parcours du combattant. Essayons de voir le côté positif, nous n’en apprécierons que plus nos vacances d’été.

Bonne chance à tous, c’est bientôt terminé.

Charly LAURENT  

Mieux utiliser sa mémoire visuelle – Partie 1

Mieux utiliser sa mémoire visuelle – Partie 1

Après nos petites astuces de révisions pour le bac, Amifor a décidé de vous faire partager d’autres techniques de mémorisation. Comme vous l’avez sûrement déjà constaté, les images aident à se souvenir mais aussi à comprendre et à retrouver les connaissances. Comment mettre à profit notre mémoire visuelle pour réviser ? Chaque semaine, retrouvez une astuce sur le blog Amifor !

Au cas où vous l’ignoreriez, la mémoire visuelle sollicitent divers réseaux de neurones dans le cerveau : la reconnaissance des formes, des couleurs, des visages, des sensations… Notre société la sollicite tous les jours avec les médias, les réseaux sociaux… Les objets du quotidien habituent nos yeux aux images, aux pictogrammes colorés, aux lignes fluides et mobiles.

Technique 1 : La carte mentale

Si vous êtes un lecteur assidu du notre blog, vous savez pertinemment que la carte mentale (ou le mind-mapping) fait partie de nos méthodes favorites. Elle consiste à résumer un sujet (cours, chapitre, recherches, etc) sous la forme d’un schéma à plusieurs branches et sous-branches.

Pour les débutants, c’est très simple. Il vous suffit de vous armer d’une grande feuille blanche et d’un stylo. Vous écrivez votre sujet de départ au centre de la feuille, dans une grosse bulle. Puis vous disposez autour les différentes facettes du sujet dans d’autres bulles reliées à la première par des branches ou des flèches. Les détails, les sous-parties ou les exemples font de nouvelles petites bulles autour des sous-bulles.

Pour ceux qui seraient plus à l’aise sur un clavier, il existe des logiciels spécialement dédiés à cette technique : Framindmap ou Xmind pour ne citer qu’eux.

L’intérêt premier de la carte mentale est de mieux faire percevoir les liens entre les parties d’un sujet, plutôt que de les chercher dans un texte linéaire. Cela aide à organiser ses connaissances, à les clarifier, et donc à mieux comprendre et à mieux retenir. Une carte mentale évoque d’ailleurs la façon dont les idées se forment dans notre cerveau via les neurones reliés entre eux par ces fines branches que sont les synapses.

Rendez-vous la semaine prochaine pour une nouvelle astuce !

Comment mémoriser ses cours facilement ? – 2ème partie

Comment mémoriser ses cours facilement ? – 2ème partie

A l’approche du bac, il est important de se rappeler quelques techniques de mémorisation pour faciliter les révisions. Le centre de formation Amifor a décidé de vous faire partager quelques unes des techniques utilisées par un étudiant blogueur en fac d’histoire.

En plus de la technique des associations, il existe aussi d’autres astuces de mémorisation qui la reprennent ou viennent la compléter. Le point commun de ces différentes astuces est de toujours jouer avec la gymnastique de la mémoire.

Voici par exemple la technique de acronymes :

L’exemple le plus connu est celui des trois philosophes. Connaissez-vous le nom des trois plus grands philosophes grecs de l’Antiquité ? Et leur ordre chronologique ? Pour vous en souvenir, pensez à la SPA. La Société Protectrice des Animaux va vous aider à garder en mémoire les noms et l’ordre chronologique de Socrate, Platon et Aristote (dont les initiales forment ce sigle).

Néanmoins, il faut aussi garder à l’esprit que toutes ces techniques et astuces ne sont utiles que si vous suivez quelques règles de vie primordiales. Des règles qui peuvent vous permettre d’améliorer vos capacités de mémorisation. La plus importante de toutes étant de conserver une bonne hygiène de vie (au moins pendant vos examens).

Prenez également l’habitude d’utiliser la méthode des répétitions espacées. Les psychologues se sont rendus compte qu’il était bien plus efficace de réviser peu mais plusieurs fois, plutôt qu’énormément mais la veille de l’examen. Ils ont même trouvé la manière optimale pour planifier les séances de révisions, pour que vous reteniez le plus possible vos cours avant de devoir les réviser de nouveau.

A suivre…

 

Comment mémoriser ses cours facilement ? – 1ère partie

Comment mémoriser ses cours facilement ? – 1ère partie

A l’approche du bac, il est important de se rappeler quelques techniques de mémorisation pour faciliter les révisions. Le centre de formation Amifor a décidé de vous faire partager quelques unes des techniques utilisées par un étudiant blogueur en fac d’histoire.

Avant toute chose, il est nécessaire de comprendre comment fonctionne la mémoire :

  • Le cerveau retient s’il peut faire des liens

Il va juger de l’importance d’une information s’il la revoit souvent et qu’il la relie à un souvenir que vous possédez déjà. C’est le problème des cours trop théoriques. Si vous ne pouvez pas rattacher ce que vous apprenez à une réalité concrète, votre cerveau aura des difficultés à mémoriser ces informations.

  • Le cerveau retient mieux ce qui est fort en émotion

Il juge que les informations chargées en émotions sont importantes. C’est pour cela que l’on se souvient plus facilement du dernier épisode de notre série télé plutôt que de notre cours de mathématiques. De plus, l’émotion permet au cerveau de conserver plus durablement les souvenirs.

La technique des associations reprend donc les deux points ci-dessus.

Mémorisez une donnée dite “froide” en l’associant à une autre chargée en émotion.  Par exemple, essayez de créer une association entre le verbe anglais “jeopardize” et sa signification française “mettre en danger”.

Si vous manquez d’inventivité, voici une association possible : imaginez une personne qui visite un zoo et qui est presque tombée dans la cage des léopards (l’orthographe ressemble à jeopardize), ce qui la met en danger. Vous avez compris ?

Vous venez d’apprendre les bases de la technique des associations, qui est redoutablement efficace pour mémoriser du vocabulaire étranger… Et toutes sortes de données.

A suivre…

 

 

Le #OuiOuiGate, un contrôle pas comme les autres

Le #OuiOuiGate, un contrôle pas comme les autres

Aux grands maux les grands moyens ! Déçu et agacé par le manque de rigueur de ses élèves de 5ème, un professeur leur a concocté une évaluation un peu particulière.

Les élèves en question avaient normalement pour devoir de lire le roman “Les royaumes du nord” de Philip Pullman et d’en écrire une fiche de lecture. C’est parce que seulement trois d’entre eux ont fait le travail que le professeur a pris la décision de de leur infliger une petite vengeance. Il leur a préparé une interrogation écrite sur “Oui-Oui” avec des questions dignes d’un niveau CE1 pour les tourner en dérision. Son initiative a fait tellement parler d’elle que le hashtag #OuiOuiGate a fait son apparition sur les réseaux sociaux.

Composé de dix questions sur un court extrait de “Oui-Oui à la ferme”, le test permettait aux élèves de répondre soit par “Oui-Oui” soit par “oui”. S’en suivait six questions sur la couverture du livre pour enfants.

Ce contrôle humoristique avait pour seul but de se moquer gentiment des élèves qui n’avait pas fait le travail demandé par le professeur. Néanmoins, l’affaire a dépassé les murs de la classe quand le web s’en ai mêlé et que le professeur en question a posté cette petite histoire sur un compte Facebook dédié à l’enseignement.

Les réactions ne se sont pas faites attendre et divisent. Certaines prennent ça sur le ton d’humour pendant que d’autres estiment qu’on ne doit pas humilier les élèves.

En tout cas, chez Amifor, on trouve l’initiative très drôle. Et vous, qu’en pensez-vous ?