par admin | Mar 30, 2018 | Apprentissage, Canada et pédagogie, Cerveau, créativité, Education, Enseignement, Formation, Hétérogénéité des élèves, Intelligences multiples, Jeux d'apprentissage, Mémoire, Pédagogie inversée
Au Canada, Marielle Bonneau, conseillère pédagogique et orthopédagogue, s’est lancée dans un nouveau projet de recherches pour prouver que tous les enfants sont capables d’apprendre et que le personnel enseignant détient le pouvoir de développer leur intelligence.

Ce nouveau projet consiste à apprendre aux élèves le fonctionnement de leur cerveau pour leur permettre de se concentrer sur une tâche, mémoriser des informations, trouver des stratégies pour obtenir des résultats et réguler leurs émotions. A l’aide d’images et de métaphores, l’enfant parvient à comprendre comment son cerveau fonctionne et peut par conséquent identifier ce qui ne va pas.
Pour prouver ses dires, M. Bonneau a par exemple fait comprendre à un enfant qu’il dérangeait toute sa classe en le munissant d’une lampe frontale qu’il braquait dans tous les sens. Les ateliers «À la découverte de mon cerveau» ont été élaborés avec toute une équipe d’orthopédagogues et de conseillères pédagogiques de la Commission scolaire des Bois-Francs (Québec) avec la contribution des profs qui acceptent de les animer.
L’important maintenant pour mesurer l’efficacité de ces ateliers est de comparer les résultats de deux classes. L’une ayant participé à ces ateliers et l’autre non. Tant du côté des élèves que des professeurs. M. Bonneau précise que pour que ces ateliers soient efficaces, chacun doit y mettre du sien, y compris les professeurs et les parents. Ils doivent réinvestir les connaissances et le vocabulaire avec l’enfant. S’organiser, planifier, mémoriser, concentrer son attention constituent des clés pour apprendre.
Ses travaux comment à avoir un écho jusqu’en Normandie. Particulièrement auprès de Sandrine Rossi, maître de conférences en psychologie cognitive de l’Université Caen. Cette dernière souhaite s’associer aux résultats de la conseillère pédagogique pour valider le résultat de ses recherches en dépistage précoce chez les petits du préscolaire. Deux classes de pré-maternelles seront choisies l’an prochain pour expérimenter cette méthode.
Pour terminer, Marielle Bonneau insiste vraiment sur le rôle essentiel des parents, qui peuvent être considérés comme des guides pour leurs enfants. Jouer avec son enfant, c’est une manière d’être entièrement présent à lui, de lui permettre de développer des stratégies, de stimuler ses capacités d’apprendre.
par admin | Mar 29, 2018 | Apprentissage, créativité, Education, Enseignement, Formation, Hétérogénéité des élèves, Jeux d'apprentissage, Pédagogie inversée
La carrière d’un enseignant débute souvent par les doutes et le stress liés à ses premiers cours. Elsa Rang Ripert, directrice de l’ESPE de Bourgogne, a récemment livré quelques conseils à ces professeurs débutants pour les aider à franchir ce cap.

Pour commencer, il faut être conscient qu’il n’existe pas une seule réalité de terrain. L’enseignant doit être capable de s’adapter à différents contextes professionnels et à différentes réalités. La réalisation de stages pendant sa formation dans des établissements variés est donc primordiale pour être armé contre ces différents cas de figure. Le jeune prof doit aussi apprendre des méthodes, des pédagogies et des outils innovants pour les réutiliser devant sa classe.
Dès ses premiers cours, l’enseignant doit construire sa posture professionnelle en adéquation avec ce qu’il est. Il doit trouver son style et instaurer un climat de confiance et de bienveillance avec ses élèves. Il doit aussi bien réfléchir à son organisation de travail et aux dispositifs pédagogiques utilisés. La réussite des ses élèves doit être sa priorité.
Il est aussi important d’être bien entouré car la solitude peut être un désavantage professionnel pour le jeune enseignant. Il ne doit pas hésiter à échanger avec ses collègues dans la salle des professeurs par exemple. Il se rendra compte qu’il n’est pas le seul à connaître des difficultés.
En règle générale, la première de ces difficultés sera de sortir des représentations qu’il a du métier. Tous les élèves ne viennent pas à l’école par plaisir et il doit en être conscient. Et les élèves ne sont pas les seuls acteurs dans son métier. Les parents y tiennent aussi une place importante. De plus, le jeune professeur est souvent amené à travailler dans divers établissements au début de sa carrière. Il doit savoir s’adapter à toutes sortes d’élèves, de parents, de collègues..
Se construire en tant que professeur ne se fait pas du jour au lendemain. Le plus important pour être un bon enseignant n’est pas d’éviter l’échec mais de justement savoir apprendre de ses erreurs pour les corriger et en tirer les leçons nécessaires.
par admin | Mar 28, 2018 | Apprentissage, créativité, Education, Enseignement, Formation, Hétérogénéité des élèves, Jeux d'apprentissage
Depuis hier se tiennent les assises de l’école maternelle. Le président de la République, Emmanuel Macron, en a profité pour annoncer l’abaissement de l’âge de l’instruction obligatoire à trois ans contre six ans actuellement. Mais ces deux journées sont aussi l’occasion d’aborder des thématiques très variées qui seront peut-être les pistes de l’école maternelle de demain.

Durant ces deux jours de débats, environ 350 personnes (scientifiques, représentants des enseignants, Atsem ou parents) viennent écouter des interventions sur des thèmes divers comme l’acquisition du langage, la mémoire chez l’enfant, les pratiques musicales, les liens entre l’école et les parents, la santé etc, dans l’objectif de faire de la maternelle « l’école de l’épanouissement et du langage ».
Ces interventions ont permis, entres autres, de dégager les pistes suivantes pour l’avenir de l’école maternelle :
- Revoir la formation des enseignants et des Atsem (agent territorial spécialisé des écoles maternelles).
- Développer les arts, la musique et le jeu mais bannir les écrans.
- Booster le langage car les inégalités de vocabulaire démarrent très tôt. Selon Jean-Michel Blanquer, ministre de l’Education Nationale : « A 4 ans, un enfant issu d’un milieu social défavorisé a entendu 30 millions de mots de moins qu’un enfant issu d’un milieu favorisé».
- Renforcer l’encadrement car le nombre d’enfants est de 23 par enseignants contre 14 en moyenne dans l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économique).
- Scolariser (ou non) les moins de trois ans.
- Aller vers un système d’accueil intégré des 1-6 ans en s’inspirant d’un processus détaillé que d’autres pays ont déjà adopté ?
Bien que toutes ces dispositions ne puissent pas être prises en seulement deux jours, cela nous donne déjà une petite idée de ce à quoi ressemblera l’école maternelle dans les années à venir.
par admin | Mar 23, 2018 | Apprentissage, Education, Enseignement, evenement, Pédagogie inversée
Depuis le 19 mars se tient la semaine de la presse et des médias dans l’école. Cette édition 2018 avait pour thématique principale « D’où vient l’info ? ». Son but est de répondre aux enjeux liés à l’Education aux Médias et à l’Information.

A chaque printemps depuis maintenant 29 ans, plus de 200 000 enseignants de tous niveaux et de toutes disciplines participent à la semaine de la presse et des médias dans l’école. Le but de cette initiative est d’aider les petits et grands à comprendre le système des médias, à former leur jugement critique, à développer leur goût pour l’actualité et à forger leur identité de citoyen. Pour cette occasion, près d’un million de journaux, de nombreuses ressources gratuites en ligne et des ateliers avec des journalistes sont offerts. 1850 médias s’inscrivent chaque année à l’opération.
A une époque régentée par les réseaux sociaux et les fakes news (fausses informations) qui se propagent à vitesse grand V, il est très important d’apprendre à nos enfants à discerner le vrai du faux et des réponses précises sur le métier des journalistes sont là pour les y aider.
« Est-ce que le journaliste dit toujours la vérité ? », « Comment distinguer une fausse information d’une vraie ? », « Quels objectifs ont les journalistes quand ils font un reportage ? », « Est-ce que les journalistes savent tout ce qu’il se passe dans le monde ? »… Autant de questions et de réponses qui permettront aux plus jeunes mais aussi aux moins jeunes d’y voir plus clair sur le monde qui nous entoure.
par admin | Mar 8, 2018 | Education, Formation
Dans les nouveaux carnets de santé (avril 18) deux pages sont consacrées à la prévention contre toute utilisation des écrans avant 3 ans. Une sage mesure surtout quand les petites têtes blondes font des écrans leurs doudous. Mais alors que se passe-t-il après ? A 3 ans et un jour , tout est permis ?
Nous sommes dans une société du tout ou rien qui nous oblige à des interdits drastiques. A des règles sans souplesse et des théories sans progression.L’éducation au contrôle de soi , la discipline de l’équilibre n’existent pas ou peu.Pourtant c’est la solution. L’équilibre serait de pouvoir envisager des usages même tangiblement dangereux mais de façon contrôlée et donc sans atteindre les seuils critiques.
Mes amis sont toujours épatés, quand je leur montre la photo de ma première cigarette sur la plage à 12 ans, avec « maman » en arrière plan. C’est elle qui me l’a offerte. Aujourd’hui, je fume toujours de façon très ponctuelle. Une cigarette ou deux par semaine et encore, je peux m arrêter un mois, voire deux, voire une année. Idem pour les sucreries, pour les bons vins… Pas d’excès, un contrôle de soi par goût de l’équilibre ce qui permet de préserver le plaisir et de ne pas ressentir la frustration. Le plaisir sans danger est la récompense de cette discipline. Mais c’est une discipline difficile à transmettre. Elle ne consiste ni à imposer, ni à poser des limites, elle se construit sur la prise de conscience. C’est transmettre le goût de l’harmonie entre soi, l’environnement, la santé et le plaisir. Eduquer est-ce interdire ?
par admin | Mar 8, 2018 | Apprentissage, Enseignement, Jeux d'apprentissage, Neurosciences, Pédagogie inversée
Pourquoi les jeux-cadres ?
Un enseignant témoigne :
« Pour aider les élèves à apprendre les classes de mots, je leur ai donc proposé de faire des schémas – cartes conceptuelles qui relient les notions entre elles – des exercices, des contrôles où la lecture et la grammaire sont indissociables. Nous avons également composé des rédactions – toutes ces activités visant à tourner autour des notions, à se les approprier à les fixer.
Néanmoins, au bout de quelques semaines, force est de constater que les notions tendent à s’effacer et à se mélanger. Il faut donc une activité qui permette de reprendre, sans lassitude, cet apprentissage des bases grammaticales. Les schémas sont donc le prélude pour la constitution d’un jeu-cadre.
Qu’est-ce qu’un jeu-cadre ?
C’est une activité ludique et qui peut donc paraître légère et futile si l’on a une idée très stricte et froide de l’enseignement. On dira que ce n’est pas sérieux, que les élèves ne travaillent pas, perdent le goût de l’effort… Je n’entrerai pas dans ce débat et je dirai simplement que ce qui m’importe, c’est le résultat. Les élèves progressent-ils dans l’apprentissage de la notion ? »
Le principe
Les jeux de société comme le Taboo, le jeu de l’oie, le Monopoly sont des cadres, des matrices, des coquilles vides, réceptacles prêts à accueillir leur contenu : le cours. On s’inspire des règles, des tableaux de jeux et on les utilise pour apprendre le cours.
Quand utiliser le jeu-cadre ?
En fin de séquence, quand les notions (en grammaire, en vocabulaire par exemple) commencent à se mélanger dans la tête de nos élèves, une activité de rappel, de construction – il faut construire un réseau grâce à une carte heuristique ou à un jeu – semble indispensable si on veut qu’ils retiennent.
Lorsque le rythme devient pénible, les élèves en fin de période, de semaine, parfois de journée, ont besoin d’autres activités, moins lourdes, plus agréables.
Pour entretenir la motivation, on peut récompenser une classe qui a bien travaillé, fatiguée, par un jeu-cadre.
Voici quelques sites qui en parlent :
Amifor organise des formations aux jeux cadres en les recontextualisant
Tout en tenant compte de vos contextes scolaires ou de formation, Amifor® organise des formations en intra (et parfois en inter, surveillez l’agenda des formations) sur notre site www.amifor.fr :
http://www.amifor.fr/Calendrier%20Formation%20AmiFor%202017-2018.pdf
par admin | Mar 7, 2018 | Apprentissage, Enseignement, Intelligences multiples, Neurosciences
Zoom sur la chronique d’une enseignante belge… Comme en France, on redécouvre dans les hautes sphères, que les 5 sens et l’émotion sont les canaux de la mémorisation.
Une chronique de Gisèle Verdruye, professeur de français depuis vingt ans dans l’enseignement général du réseau libre.
Cela vient de moi ou on nous prend pour des andouilles sans mémoire ?Si notre métier est « le plus beau du monde », il est aussi l’un des plus compliqués. Non pas nécessairement parce que les élèves sont prétendument plus remuants, ou moins intelligents, ou sont carrément des aliens venus d’un univers régi par d’autres lois naturelles que les nôtres. Non, tout cela n’est rien en comparaison du feu incessant et nourri des critiques sur le niveau des élèves dans différentes disciplines et des mesures que de grands théoriciens de la pédagogie nous invitent à suivre pour tout résoudre en un tournemain.
Les unes après les autres, ces réformes s’enchaînent inlassablement : elles vont accélérer l’apprentissage de la lecture, faire de nos chères têtes blondes des prodiges mathématiques et libérer en chaque élève le Nobel de chimie qui sommeille discrètement. Pourtant, bien que chacune de ces nouvelles méthodes balaie sans scrupule la précédente au prétexte qu’elle sera plus efficace, curieusement, les critiques sur le niveau des élèves persistent. Sans compter le fait que, de nos jours, les évaluations des performances des élèves se sont internationalisées. Aujourd’hui, on veut nous convaincre que le prestige d’un pays se mesure à la faculté que les élèves ont de résoudre une équation du second degré en un temps record ou à leur capacité de vous résumer les Discours de Platon en alexandrins. Du coup, à chaque sortie d’une nouvelle étude de performances, nos théoriciens de la pédagogie agitent les méthodes employées dans les pays du « Top 10 » comme autant de solutions pour extraire nos élèves du marasme intellectuel dans lequel nous nous complaisons à les laisser croupir, stupides enseignants que nous sommes !
Ras-le-bol de servir de défouloir à tous ces « révolutionnaires » de l’enseignement qui, pour la plupart, n’ont jamais foulé le sol d’une classe ou, s’ils l’ont fait, n’ont pas résisté longtemps à la réalité du terrain et ont préféré saisir la première occasion d’en sortir pour « mieux repenser les méthodologies d’apprentissage » !
Je ne dis pas qu’il ne faut rien changer dans nos pratiques. La sclérose du système n’est pas la solution et cela d’autant plus que les élèves, eux, forment une espèce mutante très dynamique à laquelle il faut s’adapter. Mais cela ne signifie pas qu’il faut essayer de nous faire gober n’importe quoi en prétendant qu’on vient d’inventer l’eau tiède !
Il paraît que nos élèves ne savent plus compter, manier les chiffres et en comprendre l’abstraction. D’accord ! Pourquoi pas ? ! Heureusement, un procédé génial utilisé à Singapour va tout arranger. Le secret consiste à utiliser des éléments matériels pour que les élèves puissent comprendre en 3D ce que sont les opérations mathématiques. Ensuite, progressivement, on passe de la 3D sur ardoise à la 2D sur papier et, hop, les problèmes n’en sont plus ! Et de nous montrer qu’en ôtant trois cubes verts à cinq cubes verts déjà posés sur une ardoise aimantée, l’enfant saisit mieux le phénomène de la soustraction ! On crie au génie et au fait que depuis plus de quinze ans cette méthode a fait ses preuves et qu’il est grand temps de nous y mettre !
Cela vient de moi ou on nous prend pour des andouilles sans mémoire ? Cette méthode avec ces petites barres colorées qu’on pose sur la tablette du banc (la rouge pour la dizaine, la verte pour la moitié, la bleue pour les paires, etc.), c’est ce qu’on utilisait il y a quarante ans pour nous apprendre à compter ! Parce que l’ardoise est aimantée et que les barrettes en bois ont été remplacées par leurs jumelles en plastique, la méthode, jadis abandonnée pour une autre, plus efficace certainement, est devenue révolutionnaire ? Et l’apprentissage de la lecture y passe aussi. Tout à coup, à la lumière d’une meilleure compréhension des intelligences multiples, on se souvient de l’ancienne méthode qui liait le geste au son (le son [i] avec l’index sur le coin de la bouche, le son [s] avec la main mimant la reptation du serpent, etc.). On redécouvre que la combinaison mouvement-son-image permet de mieux ancrer les savoirs dans la mémoire !
Alors ? On se refait un petit tour de manège… ?
par admin | Fév 22, 2018 | Examens scolaires, Formation, Intelligences multiples, je dis ce que je veux, Neurosciences, Pédagogie inversée
Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais je fais un cauchemar récurrent : je repasse l’épreuve de mathématiques au baccalauréat.
Pourtant, contre toute attente, j’ai eu une très bonne note ! Sans doute le fait d’avoir dû durant la période de révisions, expliquer une notion compliquée à un de mes camarades. Notion que moi même j’avais du mal à comprendre mais dont la verbalisation et la mise en mouvement (comprenez des gestes avec mes mains) m’ont permis l’assimilation. Il s’agissait d’un problème de valeurs absolues…… Donc je reviens à aujourd’hui, si je devais repasser mon bac, ce serait catastrophique… D’autant plus que les méthodes ont vraiment évolués. La biologie de mon époque (sujet : l’œil et la vue) n’a plus rien à voir avec un sujet d’aujourd’hui etc, etc…… Cependant, le grand oral me séduit bien. Il faut encore attendre 3 ans. Là j’aurais été dans mon élément. Comme quoi le baccalauréat n’est pas ni plus, ni moins difficile au fil des années, il est juste différent.
Un rêve cependant : Pourrions nous imaginer passer l’ensemble des épreuves
, selon un choix fait en fonction de nos intelligences multiples majeures ? ( ce qui supposerait plusieurs formes autour d’un même sujet)
Oups je rêve……………
par admin | Fév 21, 2018 | Hétérogénéité des élèves, Intelligences multiples, Neurosciences, Pédagogie inversée
On le sait très bien, détectez les intelligences fortes chez les élèves et avant tout un temps d’observation. Cependant il est intéressant de construire pour sa classe, pour son école, pour ses élèves un « test » qui leur est destiné. Pauline et Christelle ont pu lors d’une formation organisé par Amifor réfléchir à un test dédié aux 3ème, soit pour les aider dans leur orientation, soit pour pouvoir organiser par la suite des séances intelligences multiples (Gartner).
La première règle que nous nous sommes fixée :
Ne pas évoquer la théorie de Gartner en amont et mélanger les questions de façon à ne pas se laisser guider par une « envie particulière ».
La deuxième règle :
Utiliser un vocabulaire compréhensible et des contextes vécus par des jeunes de 14/15 ans.
La troisième règle :
Poser autant de questions dans chacune des intelligences et bien poser des questions sur toutes les facettes de chaque intelligence.
Voici donc le résultat : Teste ton profil !