par admin | Oct 9, 2019 | Pédagogie inversée
exposition de l’amour,palais de la découverte
De l’amour,
Exposition temporaire au Palais de la Découverte
A découvrir avec sa classe et des propositions de parcours enseignants/élèves
Quel sujet d’attention plus universel que l’amour ? Énigmatique, moteur tout-puissant de tant d’histoires, l’amour semble particulièrement difficile à cerner. “De l’amour”, exposition présentée au Palais de la découverte depuis le 8 octobre 2019, questionne ce mystérieux sentiment en s’appuyant sur des travaux scientifiques et artistiques.
Deux galeries vous sont proposées pour explorer ces territoires amoureux :
La galerie des attachements
Qu’est-ce que l’amour ? L’empathie ? L’attachement ?
Là où le français n’utilise que le terme “amour”, le grec utilise quatre mots : érōs, le désir, la passion charnelle ; storgê, l’amour familial ; agapē, l’amour désintéressé et philía, l’amitié, le lien social.
Derrière la simplicité de ces définitions se cache un concept qui ne se résume ni au sexe, ni à la camaraderie, ni à l’amitié, ni à la générosité. Une approche par quatre entrées qui vous permettra de percer un peu plus ce mystère et de découvrir les dernières recherches scientifiques (les sciences affectives) sur l’amour.
La galerie des sciences
Il n’existe pas de théorie scientifique globale sur l’amour. Pourtant, l’affection, l’attachement, la sexualité et l’empathie sont véhiculés par les mêmes molécules, déclenchent la sécrétion des mêmes hormones et empruntent les mêmes circuits neuronaux.
La galerie des sciences vous permettra d’aborder le sujet en sept questions, explorées en détails par des neuroscientifiques, sociologues, sexologues, psychanalystes et philosophes :
- C’est quoi l’amour ?
- L’attachement, un lien qui protège, un lien qui libère
- Amours en ligne
- Comment le corps se manifeste ?
- L’art d’aimer les autres
- Des preuves d’amour
- Comment se fabrique la sexualité ?
Une exposition imprévisible, inattendue et poétique à découvrir à partir de 15 ans jusqu’en aout 2020
De l’amour – Expositions temporaires – Votre visite – Enseignants – Vous êtes – Palais de la découverte
DU 8 OCTOBRE 2019 À AOÛT 2020
De la 2de au supérieur
Pour les enseignants
En associant amour et sciences, deux domaines a priori antinomiques, l’exposition “De l’amour” propose une exploration transdisciplinaire de ce sentiment aux nombreuses nuances.
Œuvres d’arts, films, dispositifs vidéoludiques et ateliers font naviguer vos élèves à travers les différentes formes d’amour, du premier doudou au coup de foudre. Ils aborderont les quatre notions grecques recouvrant l’amour, de l’agápê (l’amour inconditionnel) à l’érôs (le désir, la passion).
Une exposition au croisement des sciences, de la société et de l’art pour mieux appréhender l’amour et s’interroger sur la place qu’occupe ce sentiment dans nos vies.
En partenariat avec le CISA (Centre interfacultaire en sciences affectives), Université de Genève.
En collaboration avec l’Ined (Institut national d’études démographiques).
Parcours de visite
Retrouvez le parcours de visite proposé à vos élèves dans le cadre de l’exposition.
Sciences de l’amour
De la 4e à la Terminale
À partir du 5 novembre 2019
Durée : 50 minutes
Lieu : espace de médiation de l’exposition
L’exposition “De l’amour” parcourt une science multidisciplinaire, les sciences sociales et fondamentales y dialoguant librement. En assistant à l’exposé, les élèves pourront approfondir une facette de la biologie de l’Amour. Le sujet est vaste et touche de nombreuses spécialités.
Aussi, selon le domaine d’expertise des médiateurs, pourront être abordés les émotions, la sexualité, le cerveau, les hormones… sous forme d’une visite accompagnée de l’exposition, d’un quiz, d’une discussion guidée.
Laissez-vous surprendre !
par admin | Oct 4, 2019 | Education, Enseignement, Formation, je dis ce que je veux, Pédagogie inversée
La chasse au genre est ouverte
Le 24 septembre dernier, Agnès Pannier-Runacher, la secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie et des Finances, a signé avec les industriels, les distributeurs de jouets et des associations, une “Charte pour une représentation mixte des jouets.” L’objectif est de faire reculer les stéréotypes de genre dans l’univers des jouets.
Envie pour moi de m’intéresser à la première chose qui différencie la fille du garçon, à savoir le Rose et le Bleu… Et en fait d’où vient cette attribution ? et bien remontons le fil de l’histoire…
Ha ces dieux !
Cela remonte à l’Antiquité grecque, où les parents
préféraient avoir un garçon plutôt qu’une fille. Car les garçons travaillaient
et participaient aux revenus de la famille. A l’inverse, avoir une fille était
pénalisant : outre de ne pas disposer de la même force physique, requise
notamment pour le travail des champs, les filles coûtaient cher. Il fallait
économiser pour lui fournir une dot lors de son mariage. En conséquence, avoir un garçon était considéré comme béni des Dieux. Aussi lui
associait-on la couleur bleue, couleur du ciel, résidence des Dieux.
En Europe, c’est au Moyen-Âge qu’apparaissent les premiers
trousseaux spécifiques pour les bébés. Oh surprise ! Le bleu, couleur
divine de la Vierge Marie, est associé aux filles tandis que le rose, qui n’est
qu’un rouge pâle, est dévolu aux garçons. Si la rose, la fleur signifiant
l’amour, est une valeur attribuée aux femmes, le rose, lui, est perçu comme
viril. Il n’y a qu’à voir la couleur rose des bas de chausse des chevaliers
médiévaux.
Puis, remous de l’histoire, le blanc, image de la pureté et
de l’innocence, prédomine pour les deux sexes. De même que la robe que les
enfants portent indistinctement jusqu’à l’âge de six ans.
Pompadour nous a joué un tour !
Au XVIIIe siècle, la tradition antique fait son retour en
occident. A l’apogée des Lumières, la Grèce et son modèle de démocratie constituent
pour les penseurs de l’époque une référence absolue. C’est alors que
madame de Pompadour entre en piste. Philippe Rouet, un peintre belge, a mis au
point une innovation technique et artistique, il a inventé un nouveau rose sur
la porcelaine de la manufacture royale de Sèvres. La favorite de Louis XV
s’entiche de ce rose, d’une finesse exquise, et la Cour avec elle. La marquise
de Pompadour l’impose partout à Versailles, notamment sur les tenues des
petites filles, mais aussi les couvre-lits et même les pots de chambre !
Désormais, le rose est associé aux valeurs féminines : beauté, douceur,
fragilité.
L’école du genre : le webdocumentaire
Pendant deux ans, une équipe de journaliste a sillonné la France afin de construire ce web documentaire que nous vous proposons de regarder. Une plateforme pensée comme un outil pédagogique, qui décrypte ce qui dans notre éducation nous fait fille ou garçon. Ce projet réalisé par Léa Domenach et Jean-Paul Guirado a été écrit par Brigitte Laloupe et produit par Enfin Bref production avec pour partenaires la Cité des sciences, le planning familial et le centre Hubertine Auclert.
par admin | Sep 26, 2019 | Pédagogie inversée
Les neurosciences et en particulier la neuro-pédagogie s’intéresse aux ondes cérébrales et à la relation à l’apprentissage. Un récent échange avec des enseignants lors d’une formation dispensée par Amifor a mis en évidence que nous n’étions pas tous d’accord sur les rythmes à instituer en classe … Pour mieux apprendre est-il mieux de choisir le plein éveil (souvent le matin, même si aujourd’hui, me faisait remarquer une enseignante, nos élèves ne sont pas tous “au top” à 8h00, où un peu plus tard dans la matinée, lorsque le corps plus fatigué, réclame un moment de repos…Où comment construire notre pédagogie en fonction de ces ondes que notre cerveau émet 24H sur 24 mais qui ont toutes une fonction différente.
Les récentes études sur le fonctionnement de notre cerveau ont mis en évidence le bénéfice des ondes alpha pour l’apprentissage. Mais que sont elles ?
Différents rythmes, différentes ondes, différents travaux à envisager
La merveille des ondes Alpha pour l’apprentissage
Pour entrer en mode Alpha, qui correspond à un état de détente, de créativité et de bien être pour le cerveau, il suffit par exemple simplement de fermer les yeux (80% des informations sensorielles viennent du sens de la vue) et que vous vous recueillez en vous-même. Comme vous réduisez considérablement les stimulations de l’environnement, il entre moins d’informations dans votre système nerveux et vos ondes cérébrales ralentissent naturellement jusqu’à l’état Alpha.
Vous êtes moins préoccupé par les éléments du monde extérieur, vous avez tendance à moins penser et à moins analyser, en état Alpha, le cerveau est dans un léger état méditatif. Tous les jours vous passez en Alpha sans effort. Par exemple, quand vous apprenez quelque chose de nouveau lors d’une conférence. Votre cerveau fonctionne alors en ondes bêta, en ondes de la réflexion, pour analyser et comprendre le contenu. Quand vous avez particulièrement aimé un point de la conférence, là votre cerveau fait une pause et passe en Alpha. Cela permet à votre cerveau de consolider l’information dans votre matière grise. A ce moment là, le lobe frontal implante l’information dans la structure cérébrale et comme par magie, vous pouvez vous rappeler ce que vous venez d’apprendre.
C’est pour cela sûrement que l’on dit aux écoliers qui buttent sur leur leçon d’aller d’abord s’aérer l’esprit et d’ensuite revenir à l’apprentissage. En marchant, tout simplement, on passe d’une activité cérébrale de type analytique et répondant au stress, qui est le mode Bêta au mode de détente, d’apprentissage et de créativité, le mode Alpha.
Les ondes Alpha permettent la synchronisation de nos deux hémisphères : notre cerveau droit plus créatif et notre cerveau gauche plus rationnel. Elles sont aussi facilitatrices de la créativité et des apprentissages.
Le résultat est que l’on doit adapter le type de travaux, en classe, aux rythmes cérébraux différents. Un travail d’équipe et d’analyse sous onde Bêta ? Un travail de synthèse, de mémorisation et de concentration sous ondes Alpha ? A réfléchir, en tout cas, favoriser les pauses micro siestes et relaxation favorise la resynchronisation des deux héisphères et un plus de créativité alors fonçons !
par admin | Sep 19, 2019 | Collectif AmiFor, Education, Enseignement, je dis ce que je veux, Neurosciences
un article sur l’écriture manuscrite et son importance pour la mémoire
Dans un article paru dans Le Parisien lundi 16 septembre dernier, Denis Alamargot., professeur en psychologie cognitive à l’université Paris Est-Créteil, spécialiste de l’apprentissage de la production écrite et des outils numériques explique pourquoi il est important de maintenir l’apprentissage de l’écriture manuscrite, alors que les outils numériques sont de plus en plus utilisés pour écrire en dehors de l’école. Mais aussi pourquoi la France a choisi de garder une forme cursive de l’enseignement de l’écriture (autrement dit attachée). Plutôt que la méthode scripte adoptée par les Etats-Unis et la Finlande.
Chez AMIFOR,
Nous considérons en effet que le cerveau mémorise mieux grâce au geste kinesthésique de la main et à la visualisation des lettres cursives. Tout en considérant le grand intérêt de l’introduction du numérique dans l’enseignement, dans les écoles,nous défendons la place du manuel, du manuscrit, du gestuel, de la lecture livresque (“je tourne la page, revient en arrière, met des repères sur une surface délimitée etc…”) Nous ne sommes pas des chercheurs scientifiques, mais des observateurs et des animateurs et donc releveurs de pratiques pédagogiques et scolaires maintes fois prouvées.
Nos formations et notre accompagnement au projet dans les établissement va dans ce sens de la combinaisons des méthodes et savoirs “ancestraux” aux nouvelles technologies à plus-value irréfutables.
A lire donc, cet article dans le PARISIEN
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par admin | Sep 12, 2019 | Pédagogie inversée
Adapter les découvertes à des méthodes plus classiques
Est ce typiquement français ? Il suffit qu’un courant de pensée, qu’une étude scientifique, qu’un domaine soit un peu plus exploré, convoité par les chercheurs, approfondi et que l’on puisse en tirer des conclusions, conséquences éventuelles, applications et méthodes pour qu’une minorité devenant parfois une majorité dresse les armes contre les conclusions des recherches en questions jusqu’à parfois les faire mettre au placard.
Refus des avancées ? Peur des changements ? ou juste balancier permettant ainsi de ne pas rendre trop invasive la dernière des recherches au détriment de ce qu’on croit savoir, et faire avec justesse.
De quoi parle-t-on ? Des dernières recherches et publications de résultats sur les neurosciences s’appliquant à la pédagogie : la neuro-pédagogie.
Soyons objectif : dans ce domaine scientifique, la prudence est de mise. Tous les résultats de recherche, tous les écrits ne sont pas forcément applicables de suite. Mais est-ce une raison pour dénigrer d’un seul coup tout ce qui a été éclairé et mis en avant en tant que bénéfices pour l’apprentissage ?
D’autant plus que bien souvent les outils apportées, les méthodes évaluées apportent souvent des résultats positifs.
On nous dira : oui mais cela est dû à :
-l’effet de surprise généré par la nouvelle méthode
-la motivation issue de cette nouvelle méthode
-le goût nouveau de l’enseignant pour cette nouvelle méthode
– le “hors cadre” ainsi généré
Mais tout ce que l’on vient de citer se range également derrière les découvertes des neurosciences :
-Faire différemment souvent pur susciter l’intérêt
-Mettre hors cadre pour aider à la créativité
-Utiliser tous les sens de notre corps pour mémoriser
On ne peut pas rester sans comprendre plus loin notre fonctionnement cérébral et les liens puissants entre motivation/mémorisation et corps et sens. On ne peut pas s’en tenir à ce qui existait avant et ce qui a fonctionné alors que le monde change et bouge et les technologies avec et nos publics avec. Il faut testé, essayé, se confronter aux découvertes récentes. Il faut composer avec, au moins sans les investir totalement
On ne peut pas être simplement enseignant en ignorant ce type de recherches fondamentales. Certes, cela demande de l’investissement, de la formation, de l’envie et du temps.
MC Lefebvre
par admin | Sep 9, 2019 | Pédagogie inversée
“L’école aujourd’hui” est une chronique proposée par RCF (pour le moment, Calvados, Manche, Orne). Nous l’animons sur l’antenne. Elle est sur les ondes un lundi sur deux, à 12H25. Elle est animée par Marie Christine LEFEBVRE, fondatrice et gérante d’Amifor.
RCF radio emission l’école aujourd’hui
De quoi parlerons nous à l’antenne ? Des situations et questions abordées par les élèves, les parents et les enseignants. De petits témoignages, des solutions, des techniques, des sujets de réflexions. Nous sommes également prêts à répondre à vos questions et à aborder des sujets qui sont les vôtres. N’hésitez pas à déposer vos suggestions et questions sur le facebook RCF ou sur le Facebook Amifor. Voici quelques sujets qui seront prochainement abordés :
– Fournitures scolaires et motivation
– Le Bullet journal
– Libérer la créativité de vos élèves
– L’école et l’entrepreunariat
– Et si on avait de multiples intelligences ?
– Que faire des bavards ?
– La phobie scolaire, c’est quoi ?
par admin | Sep 4, 2019 | Pédagogie inversée
Un projet moderne ne serait-il pas de réimplanter des écoles dans tous nos villages !!!
Cette nouvelle issue du site French.China.org m’inspire !
« Le 1er septembre, l’école primaire Shaowu à Shangrao, dans la province du Jiangxi (sud-est de la Chine), a inauguré sa nouvelle année scolaire avec une cérémonie de levée du drapeau national. Cette petite école située au fond des montagnes isolées ne se compose que d’une jeune institutrice et de deux élèves. Grâce à des outils pédagogiques modernes, les enfants de la campagne peuvent toutefois bénéficier d’une bonne éducation obligatoire. (Photos Zhuo Zhongwei/Chinanews) »
S’il pouvait en être ainsi sur notre territoire …
Conserver même de toutes petites écoles dans nos villages permettrait d’enraciner les habitants et les services qui vont avec.
L’école n’est elle pas le premier maillage du territoire avant la poste, la boulangerie ou l’épicerie ? Qui dit école, dit jeunes familles et besoins en services et vitalité et donc implantation de nouveaux services.
Réintroduire les écoles dans les villages avec des outils numériques qui leur permettent de travailler en réseau, entre elles, avec des expérimentations possibles car sur de petites classes, avec une insertion facilitée du handicap car en petits groupes, n’est-ce pas répondre à nos défis sociétaux ?
Moins de déplacement, moins de pollution, plus d’ancrage, plus de services, plus de services, plus d’habitants, plus d’habitants, plus d’enfants et une meilleure répartition territoriale… Seul hic, le nombre d’enseignants et leur motivation pour aller enseigner dans les campagnes. Là également des solutions sont à trouver : loyers modérés pour ces derniers ? Voyages d’études rémunérés pendant leurs vacances ? (Pourquoi pas ? )
En attendant nos enfants de 3 ans devront se lever bien de bonne heure dans nos campagnes pour rejoindre des écoles souvent trop éloignées !
MCL
par admin | Août 16, 2019 | Cerveau, Collectif AmiFor, Communication, Education, Enseignement, Neurosciences
Enquête passionnante en deux volets, “Demain l’école” se penche sur le rôle croissant des sciences cognitives dans les méthodes d’apprentissage scolaire. Diffusion samedi 15 septembre à 22h20 et samedi 22 septembre à 22h15, sur Arte. A vos méninges !
L’émission mettra en avant des expériences vécues à l’étranger et en France mais également la crispation latente autour de la neuro-éducation. Dans l’article publié sur ce sujet, Télérama dit : “ l’essor de la « neuroéducation » crispe bien des acteurs du monde éducatif. …
Lorsqu’on lui demande pourquoi son film, passionnant par ailleurs, n’expose pas ce débat d’idées, Frédéric Castaignède répond qu’il relève de « la guerre de chapelles entre spécialistes de différentes disciplines », chacun s’évertuant à « défendre son pré carré ». Et qu’il a jugé plus intéressant de « confronter cette “éducation fondée sur la preuve” à la réalité : quelles sont les applications concrètes de la neuroéducation dans les salles de classe ? Sont-elles efficaces ? » L’ambition de cette instance d’expertise et d’évaluation : développer une pédagogie fondée sur des preuves. Soit, comme l’explique son président, le neuroscientifique Stanislas Dehaene : « Ne plus soumettre les enfants aux aléas des politiques éducatives, mais tester systématiquement sur une base scientifique ce qui marche et ne marche pas. » Faire le tri, donc.”
En savoir plus, lisez l’article de Télérama
Amifor® vous invite à suivre cette émission. Nous en reparlerons sur ce blog.
par admin | Juil 5, 2019 | Apprentissage, Cerveau, Collectif AmiFor, Entreprises, Intelligences multiples, Neurosciences, numérique
Le 2 juillet dernier, Oxford présentait à la presse sa nouvelle ligne de produits étudiant pour la rentrée scolaire ainsi que son application “scribzee®”, permettant une meilleure gestion et organisation des notes manuscrites et donc du travail individuel et collaboratif et des révisions. Une organisation à laquelle il faut penser dès le début de l’année si on veut être au top quand les examens et contrôles approchent !
Marie Christine Lefebvre,” Amifor®” et des journalistes invités par Oxford à Paris le 1 juillet lors de la présentation presse des produits Oxford pour la rentrée.
Notre centre de formation Amifor® a collaboré avec Oxford dans le cadre d’une approche neurologique de l’apprentissage. Comment l’étudiant apprend ? Les techniques et les outils sont-ils les mêmes pour tous ? Ou sont-ils différents en fonction des profils d’apprentissage ?
Amifor® a mis son expertise au service de cette recherche et le 2 juillet a animé un atelier avec les journalistes et influenceurs présents sur cette question. Un moment de partage
très convivial ou chacun a apprécié se remettre dans la peau de l’étudiant qu’il était pour passé un test que nous avions édité autour des intelligences multiples.