Je dis ce que je veux : Quand les entreprises laissent leurs collaborateurs piloter leurs réseaux sociaux

Je dis ce que je veux : Quand les entreprises laissent leurs collaborateurs piloter leurs réseaux sociaux

Les « takeover » de comptes Twitter ou Instagram par des influenceurs sont une tactique classique du marketing d’influence sur les réseaux sociaux. Mais laisser les clés de sa communication digitale aux collaborateurs de l’entreprise reste plus rare et très encadré. Cette démarche peut être une tactique RH efficace, en lien avec la stratégie de communication interne et externe de l’entreprise, pour fédérer les équipes autour d’un projet commun, et séduire de nouveaux collaborateurs. 

Source : Viuz

Liens : https://viuz.com/2019/04/08/quand-les-entreprises-laissent-leurs-collaborateurs-piloter-leurs-reseaux-sociaux%EF%BB%BF/

 

Le pouvoir d’agir et neurosciences

Les neurosciences éclairent les déterminants de nos actions et la place qu’y joue notre vie mentale. En résultent divers modèles du sujet humain, qui ont chacun une répercussion sur les politiques de l’autonomie impulsées par les pouvoirs publics.

Des héros de Marvel au Programme des Nations Unies pour le développement, inspiré par la théorie des capabilities d’Amartya Sen, nos sociétés érigent en idéal un individu capable d’agir. Par-delà des interprétations politiques diverses, cet idéal met l’accent sur l’action volontaire et ses conditions de possibilité. Or, depuis une cinquantaine d’années, les neurosciences ont mis en évidence des corrélations entre des mécanismes cérébraux et la gamme des opérations mentales (cognitions, émotions, intentions), corrélations qui ébranlent ce qu’on croyait connaître des liens entre pensée et action. À partir des dimensions constituantes de l’action, on soutiendra ici que la vogue actuelle des neurosciences ne nourrit pas seulement l’idéal de l’individu agissant, comme on peut l’admettre en première instance avec Ehrenberg [1], mais le spécifie et le reconfigure fortement, au point de justifier une révision substantielle des conditions politiques et sociales de l’autonomie. Comment notre compréhension de l’action humaine est-elle modifiée par les avancées neuroscientifiques ? Quel espace pour un agir autonome cela produit-il ? Nos démocraties doivent prêter attention à ce qui mérite d’être interprété conjointement- aussi bien la compréhension des déterminismes cérébraux que celle de la causalité mentale dans le monde physique – si l’on tient aux libertés individuelles.

Quand le sujet de l’action et les politiques de l’autonomie rencontrent les neurosciences

La figure de l’individu libre et autonome est au cœur de nos sociétés [2], de nos institutions et de notre droit (protection des libertés individuelles, responsabilités pénales des actes dont on est l’auteur). Nos politiques publiques en sont imprégnées sur un large échiquier politique, qu’elles encouragent l’individu à déployer ce qu’il peut (version libérale méritocratique), l’y exhortent (recherche d’efficience capitaliste) ou encore instaurent des ressources pour permettre à chacun de s’accomplir en s’émancipant des déterminismes sociaux (investissement social dans l’enfance, politiques éducatives, sécurité sociale…). Tout à la fois héritier des valeurs de rationalité des Lumières et d’expression de soi du romantisme [3], cet individu autonome « se détermine comme cause de sa propre action en vertu de raisons dont on reconnaît la dimension normative » [4], il en tire d’ailleurs sa dignité ; et cherche à s’accomplir dans l’existence par des actes qui lui sont personnels.

Un extrait d’article proposé par Vanessa Wisnia-Weill, experte des politiques éducatives et sociales.

Source : Le Vie des Idées

-> https://laviedesidees.fr/Pouvoir-d-agir-et-neurosciences.html 

 

Je dis ce que je veux : Notre-Dame de Paris : les reconstitutions en 3D peuvent aider à la reconstruction

Je dis ce que je veux : Notre-Dame de Paris : les reconstitutions en 3D peuvent aider à la reconstruction

Jeu vidéo « Assassin’s Creed Unity », reconstitutions historiques en 3D ou encore modélisations d’architectes numériques offrent une documentation désormais précieuse pour reconstruire le monument ravagé par les flammes.

Des pixels pour sauver des poutres. Après l’incendie qui a ravagé une partie de Notre-Dame de Paris lundi 15 avril, les futurs architectes de la reconstruction du monument gothique pourront s’appuyer sur un matériel inédit du temps où les premières pierres de la cathédrale furent posées : l’imagerie 3D et les reconstitutions virtuelles.

Certaines sont très connues du grand public. Beaucoup de joueurs de jeux vidéo se sont émus de voir flamber ce qui a été, pour eux, un terrain de jeu grandeur nature : en 2014, l’éditeur français Ubisoft avait en effet reconstitué de manière libre le Paris du XVIIIe siècle dans le jeu d’action Assassin’s Creed Unity, et avait fait de Notre-Dame le cœur vibrant de l’aventure. Plus de 10 millions de joueurs ont visité virtuellement la cathédrale, et même posé le pied sur cette toiture ravagée, sur cette flèche effondrée.

Pour beaucoup de personnes, notamment à l’étranger, la reconstitution de Paris par Ubisoft dans « Assassin’s Creed Unity » a été le premier contact intime avec Notre-Dame.

« Le rôle de la 3D, c’est de transmettre »

Si le jeu vidéo s’est naturellement invité dans les conversations du grand public, bien d’autres entreprises de reconstitution numérique de Notre-Dame existent déjà. Moins connues, plus précises, elles pourraient offrir un matériau de premier plan pour aider à reconstituer certaines parties détruites de Notre-Dame de Paris.

Un article William Audureau, à retrouver dans le journal Le Monde.

Source : Le Monde

Liens : https://www.lemonde.fr/pixels/article/2019/04/16/notre-dame-de-paris-les-reconstitutions-en-3d-peuvent-aider-a-la-reconstruction_5451178_4408996.html

 

Je dis ce que je veux : Utiliser sa mémoire, c’est du boulot

Mémoriser une leçon ne vas pas de soi pour les plus jeunes enfants. Mais les parents peuvent y aider avec un peu d’astuce et d’imagination.

IL EXISTE plusieurs mémoires. En apprenant, nous utilisons les unes ou les autres et toujours de façon complémentaire. Pour la mémoire, comme pour le reste, il faut respecter le rythme de développement de l’enfant et adapter la stratégie d’apprentissage pour l’accompagner au mieux.

La mémoire à court terme :

Appelée aussi mémoire de travail, elle ne retient que de petites quantités d’informations en un temps court. Cette mémoire est très utilisée au cours des apprentissages, pour comprendre une consigne et la maintenir en mémoire le temps de faire un exercice. Comme elle dépend de l’attention, elle est sensible aux interférences comme le manque de sommeil, des pensées qui nous préoccupent, le stress… Elle se développe lentement jusqu’à la fin de l’adolescence.

La mémoire à long terme :

La mémoire des habitudes (mémoire procédurale). Elle est automatique et liée à l’action. Elle nous permet, grâce à des automatismes, de faire du vélo, résoudre une équation, lire …

La mémoire perceptive. C’est une mémoire qui permet d’améliorer le traitement d’une information déjà rencontrée et cela de façon automatique. Grace à elle, nous pouvons faire un trajet familier en voiture tout en discutant.

La mémoire des connaissances (mémoire sémantique). Nous y conservons l’ensemble de nos savoirs sur le monde et sur soi. Je connais le prénom de mes grands-parents et des détails de leur vie, et je sais également que Paris est la capitale de la France. 

La mémoire des souvenirs (mémoire épisodique). Elle stocke des souvenirs d’événements précis, associés à des émotions, des perceptions, qui surgissent lorsque le souvenir est sollicité. C’est par la répétition de cette mémorisation que l’élève apprend. Avec la répétition, le contexte (ou et quand je l’ai appris ? Qui me l’a dit?…) va s’effacer pour ne conserver que la connaissance. Cette mémoire se développe progressivement au cours de l’enfance pour ne fonctionner véritablement que vers 4-5 ans. 

Les trois phases de la mémorisation. Pour toutes ces mémoires, trois étapes sont nécessaires pour retenir une information :

  • L’encodage : moment ou l’on entend l’information, ou on la comprend, ou l’on fait des liens avec d’autres infos déjà stockées. Il est possible d’y associer des images mentales Multi-sensorielles (sons, images, dessins, ect..) 
  •  Le stockage ou la consolidation : étape pendant laquelle on maintient l’information dans la mémoire. De quelques secondes pour la mémoire de travail à des années pour la mémoire à long terme. 
  • La récupération : c’est l’étape de rappel de l’information qui peut se faire via la reformulation (sur une feuille blanche ou à l’oral), un quiz, ect. Chaque étape de rappel constitue de nouveau une étape d’encodage, qui sera suivie d’une phase de récupération, et ainsi de suite. Ce qui explique pourquoi la répétition est aussi importante dans la consolidation de la mémoire.  

Ces différentes formes de mémoire se retrouve dans le travail du centre Amifor.

Cet article fort intéressant, de Claire Alméras, est à retrouver dans le magasine « Famille & éducation » n°526 – Mars Avril 2019. (pages 36-37)

Source : Famille & éducation n°526 – Mars Avril 2019. -> https://www.apel.fr/

 

Nous n’utilisons que 10% de notre cerveau. Tout faux, c’est un neuromythe !

Écouter du Mozart pour devenir plus intelligent ? L’apprentissage ne peut se faire que jusqu’à l’âge de trois ans ? Nous avons tout faux : ce sont des neuromythes, des croyances infondées sur le cerveau. À une époque où les neurosciences sont « sexy », combattre les neuromythes est nécessaire.

« Beaucoup d’histoires circulent sur nos capacités cérébrales : nous n ‘utiliserions que 10% de notre cerveau ; du point de vue cérébral, tout se jouerait avant 3 ans ou 4 ou 5 ; notre cerveau serait au contraire tellement plastique qu’on pourrait apprendre sans souci le swahili à 80 ans ; écouter Mozart permettrait d’augmenter le QI… La plupart sont fausses… mais nous sommes particulièrement enclins à tomber dans le panneau. Parfois c’est sans conséquences, parfois non… En prenant comme exemples un certain nombre de ces « neuromythes », expliquer pourquoi nous en sommes si friands, pourquoi nous avons du mal à faire la part des choses (notre cerveau est certes doté de capacités qui font ce que nous sommes mais ce n’est pas non plus « Super  Cerveau »…), comment être plus attentifs aux pièges qui entourent la science du cerveau (charlatans, légendes urbaines, techniques suspectes) et pourquoi il est important et même très important d’être plus attentifs. À une époque où les neurosciences sont « sexy » et sources de  nombreuses convoitises, combattre les neuromythes est en effet nécessaire, et ce d’autant que sont concernés des secteurs sensibles de notre société comme l’éducation ou la santé. »

Eléments de réponses à visionner via une conférence dirigée par Elena Pasquinelli, chargée de recherches à l’Institut d’études cognitives, Ecole normale supérieure, auteur notamment de Mon cerveau, ce héros – mythes et réalité.

https://www.franceculture.fr/conferences/ecole-normale-superieure/nous-nutilisons-que-de-notre-cerveau-tout-faux-cest-un-neuromythe

Source : France Culture

Je dis ce que je veux : C’est la semaine du Cerveau !

Semaine du cerveau 2019 : le CNRS vous donne rendez-vous partout en France !

Pour la 21ème année consécutive, les équipes du CNRS s’investissent dans la Semaine du cerveau au travers de conférences, d’ateliers, de visites de laboratoires et même de pièces de théâtre. Coordonnée en France par la Société des neurosciences et placée cette année sous le haut patronage de Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, la Semaine du cerveau est un événement gratuit et ouvert à tous. Les scientifiques du CNRS vous donnent rendez-vous dans plus de 120 villes de France, du 11 au 17 mars 2019.

Retrouvez l’ensemble du programme de la semaine du cerveau sur le site du CNRS !

Source : CNRS – La semaine du cerveau Société des neurosciences

http://www.cnrs.fr/fr/semaine-du-cerveau-2019-le-cnrs-vous-donne-rendez-vous-partout-en-france

Je dis ce que je veux : Les neurosciences au service de l’école

Problèmes d’attention, stress, troubles du sommeil… L’école St Dominique à Bourges s’est lancée dans les neurosciences depuis quelques années. Comment les neurosciences peuvent-elles être au service de l’enseignement ?

Éléments de réponse avec trois professeurs : Axelle Larue, Valérie Milleliri et Xavier Allegre.

https://rcf.fr/vie-quotidienne/les-neurosciences-au-service-de-l-ecole

Source : RCF, Radio chrétienne francophone

Présentée par Charlotte Bonnet, Solenne Duthois, Wahid Selmi

L’orthographe est à l’ordre du jour

Un vrai problème d’orthographe existe au sein des entreprises. l’orthographie perd ses lettres de noblesse auprès de nos élèves. Il arrive même à certains enseignants « de fauter »

Voici pour vous quelques petites applications pour vous améliorer tout en  s’amusant…

Orthofolie
Orthofolie est une application où il faut écrire un maximum de mots qui sont dictés sans faire d’erreur.  Moins on fait d’erreurs, plus vite tu vas monter dans les différents niveaux et améliorer ton score.
Télécharger Orthofolie pour iPhone et iPad, ou Android
Fautes de Français
Fautes de Français est une application très complète pour améliorer non seulement son orthographe mais aussi la grammaire et la conjugaison.
Télécharger Fautes de Français pour iPhone et iPad
Projet Voltaire
Projet Voltaire est devenue une application de référence pour se remettre à niveau. Elle propose des niveaux classés dans un ordre croissant de difficulté. Chaque niveau permet de se tester et de s’entraîner sur 14 difficultés. On peut à tout moment voir ta courbe de progression en cliquant sur « Statistiques ».
Télécharger Projet Voltaire pour iPhone et iPad, Android et Windows Phone
Améliorez votre français!
Améliorer votre francais! est une application qui dispose de 475 questions et de leçons théoriques simples pour réviser avant de te lancer dans le quiz. Un système de scores mesure les progrès. La partie théorique de Améliorez votre français! est tirée du livre 209 leçons de base pour bien écrire de Jacques Beauchemin.
Télécharger Améliorer votre francais! pour iPhone et iPad, ou Android
La Conjugaison
Avec l’application La Conjugaison par Le Nouvel Observateur, consultez gratuitement toutes les conjugaisons de plus de 9 000 verbes français.
Télécharger la Conjugaison pour iPhone et iPad, ou Android
Bescherelle – La Conjugaison
Bescherelle reste la référence absolue pour revoir la conjugaison des verbes. Cette application permet d’accéder à près de 10 000 tableaux de conjugaison, qui peuvent s’afficher, au choix, en orthographe traditionnelle ou en orthographe rectifiée.
Télécharger Bescherelle – La Conjugaison pour iPhone et iPad, ou Android
Le Conjugueur
Le Conjugueur est une application simple et complète en même temps pour ne plus se tromper dans les terminaisons. Particularité intéressante, elle permet de conjuguer tous les verbes français de manière autonome sans connexion Internet.
Télécharger Le Conjugueur pour Android, Windows Phone ou iPhone et iPad

Je dis ce que je veux : Les métiers selon les intelligences multiples

Je dis ce que je veux : Les métiers selon les intelligences multiples

Le profil intelligences multiples permet de donner quelques indices quant à l’orientation possible des jeunes. C’est pourquoi participer à un salon, un évènement autour de l’orientation en aidant les jeunes à découvrir leur profil et à travers celui-ci pouvoir aiguiller vers des métiers potentiels est une bonne initiative.

Sur Caen, ce jeudi 7 février, l’équipe AmiFor animera un stand où seront bien venus les collégiens, lycéens, étudiants et demandeurs d’emploi. Vous mêmes dans vos écoles, sur les forum pouvez monter un rendez vous Intelligences Multiples. Comment ?

Un questionnaire mis au point par vos soins pour votre cible étudiant ou collégien, une représentation (sous forme de radar, pas exemple) et une explication des profils majeurs, la remise d’un guide et de quelques conseils de visite au jeune.

Une utilisation différente de la méthode Gartner ! Suivez nous nous publierons les résultats et le compte rendu de cette journée dès demain !

Mc Lefebvre