“jeudi, ce que je veux”

“jeudi, ce que je veux”

Marie Christine LEFEBVRE Rédac Chef Blog Amifor

Tous les jeudis,  à partir d’aujourd’hui un billet d’humeur ouvrira ce blog…

Pourquoi le jeudi ? Tout d’abord parce qu’il y a tout dans ce mot : le jeu, le je, le  dit, le non dit… tous les ingrédients d’un bon billet. Sujet d’humeur donc, léger ou sévère, il permettra à l’un de vous, enseignant, formateur, élève, salarié, psychologue, mère de famille, mamie, de vous exprimer  autour de l’école, l’enseignement, l’éducation, l’orientation, la jeunesse, l’avenir, les lois, les profs, les souvenirs…Lettre ouverte donc, espace d’écriture. Seule obligation, la longueur du billet, pas plus de 10 lignes comme ce premier article. Amusant, plaisant et non anonyme, ici on s’engage, on affirme, on s’oppose, on raconte, on amuse mais on assume. Donc… une signature, une photo si vous le désirez, le tout à envoyer à la Redac’chef avant le mardi soir, histoire de revoir, de relire, de choisir. De toute façon elle vous répondra. A vos plumes numériques !

 

Les gendarmes à l’école font de la prévention sur les réseaux sociaux

Les gendarmes à l’école font de la prévention sur les réseaux sociaux

La gendarmerie fait de la prévention sur les réseaux sociaux à l’école

Dans le cadre de la sensibilisation aux risques liés à l’usage d’internet, et tout particulièrement des réseaux sociaux, le collège Les Étangs a accueilli deux gendarmes de la BPDJ de Metz (brigade de prévention de la délinquance juvénile).

L’outil de communication, qui fait désormais partie intégrante de notre quotidien, suscite quelques interrogations face aux dangers, aux dérives que peut entraîner son utilisation.

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Les SMS, une menace pour l’orthographe des adolescents ?

Les SMS, une menace pour l’orthographe des adolescents ?

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Des millions de Sms tous les jours. La nouvelle forme d’écriture des jeunes. Faut il composer avec et inventer les dictée SMS comme existent déjà les Twistées.

 

Beaucoup de parents et d’enseignants s’inquiètent de la mauvaise habitude que donnerait l’écriture « sms » sur le niveau de l’orthographe. Qu’en est-il réellement  ?

L’écriture sms une menace pour l’orthographe?

La pratique des SMS ou textos n’a pas d’influence sur l’orthographe des collégiens, c’est leur niveau en orthographe qui détermine le type de fautes présent dans les SMS. Cette conclusion a été établie grâce aux résultats d’une étude menée sur 4524 SMS produits par 19 jeunes adolescents français, âgés de douze ans par des chercheurs du Centre de Recherche sur la Cognition et l’Apprentissage (CNRS/Université de Poitiers/Université François-Rabelais Tours).

L’étude réalisée en collaboration avec des chercheurs de l’Université Paris Ouest Nanterre La Défense et de l’Université Toulouse II – Le Mirail conclut en outre que les SMS ne constituent pas une menace pour le niveau en orthographe à l’école, mais sont une occasion nouvelle et supplémentaire de pratiquer l’écrit. Ces travaux viennent d’être publiés dans la revue Journal of Computer Assisted Learning.

Nouvelles pratiques quotidienne

L’apprentissage de l’orthographe est crucial pour la réussite scolaire comme pour l’insertion sociale et professionnelle. Les nouvelles technologies, et en particulier les SMS dont se sont emparés les adolescents, ont suscité de nouvelles pratiques quotidiennes et fréquentes de la langue écrite pour des échanges entre personnes, en dehors du cadre institutionnel. Les SMS prennent des formes très différentes de l’orthographe traditionnelle (cf. tableau 1), et sont souvent incriminés par les parents ou les enseignants comme la cause des difficultés en orthographe des élèves.

Idées reçues à nuancer

Les résultats de l’étude réalisée par les chercheurs du Centre de Recherche sur la Cognition et l’Apprentissage (CNRS/Université de Poitiers/Université François-Rabelais Tours) viennent pourtant nuancer ces idées reçues. En effet, ils montrent qu’en début de pratique des SMS, c’est le niveau en orthographe traditionnelle qui détermine la forme des SMS envoyés, et non pas les SMS qui influencent négativement l’orthographe traditionnelle. Lorsque la pratique des SMS est installée (au bout d’un an), il n’existe aucun lien entre le niveau en orthographe traditionnelle et la forme des SMS. Le seul lien qui existe entre le niveau en orthographe et la densité de «textismes » (1) concerne ceux en rupture avec le code traditionnel (cf. tableau 2) au premier trimestre de pratique des SMS.

Contrairement aux craintes souvent exprimées, ce sont les bons élèves en orthographe qui font beaucoup de « textismes » en rupture avec le code traditionnel et les moins bons qui en font le moins. Cette étude montre que l’écrit traditionnel et l’écrit SMS dépendent des mêmes capacités cognitives symboliques. Elle permet aussi de conclure que les SMS ne sont pas une menace pour le niveau en orthographe à l’école, mais une occasion nouvelle et supplémentaire de pratiquer l’écrit. Il est important de souligner que dans les SMS étudiés, si en moyenne 52% de mots contenaient des « textismes », 48% de mots étaient écrits selon les règles traditionnelles.

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Qu’en est-t-il dans un autre pays?

Pour arriver à ces conclusions, les chercheurs ont constitué un corpus de 4524 SMS produits dans la vie quotidienne par 19 jeunes adolescents français de 12 ans. Les participants n’avaient jamais possédé ou utilisé de téléphone mobile avant le début de l’étude.

Leurs SMS ont été recueillis par les chercheurs tous les mois pendant un an. Pour les étudier, ils ont caractérisé la densité de « textismes » des SMS et ont ajouté aux recherches déjà réalisées la distinction entre les « textismes » en accord avec le code traditionnel et ceux en rupture avec ce code, c’est-à-dire ceux qui sont les plus spécifiques du langage SMS (cf. tableau 2).

Des études récentes pour la langue anglaise et finlandaise avaient également démontré qu’il n’existe pas de lien entre le niveau en orthographe d’élèves de 9 à 12 ans et la densité de fautes dans les SMS. Le téléphone mobile et les SMS sont utilisés avec facilité et enthousiasme par les adolescents. Selon les chercheurs, ils pourraient donc être utilisés comme support d‘apprentissages scolaires, idée que l’UNESCO avait déjà soutenue en 2010.

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(1) La densité de « textismes » se définit par le nombre de changements dans la forme orthographique d’un mot par rapport à l’écrit traditionnel, divisé par le nombre total de mots du SMS.

Bernicot, J., Goumi, A. & Bert-Erboul. A. Volckaert-Legrier, O. (accepted, 01/20/2014). How do skilled and less-skilled spellers write text messages? A longitudinal study of sixth and seventh graders. Journal of Computer Assisted Learning. Pour consulter le site web cliquez ici

Texte et dossier: CNRS

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Tout change, le monde change, et l’ école ?

Un procès fiction sur l’école qui donne envie de bouger

Petite merveille trouvée sur Facebook. Une film procès qui reprend l’analogie de Einstein sur l’évaluation. Je vous propose de le regarder “de façon décalée”… Bien sûr l’école est et restera une Institution devant conserver ses repères et ses règles, mais…

A L’ESFAC CAEN, l’entreprise école en BTS Communication, c’est parti

A L’ESFAC CAEN, l’entreprise école en BTS Communication, c’est parti

Les BTS2 ont ainsi préparé l'évènement de remise des diplômes en fin d'année. Une réussite du point de vue des animations

Les BTS2 ont ainsi préparé l’évènement de remise des diplômes en fin d’année. Une réussite du point de vue des animations

Comme chaque année depuis 3 ans, la nouvelle promotion des BTS Communication de l’ESFAC s’est repartie autour de 3 projets entreprises (associations…).

Le premier est un projet culturel itinérant permettant aux jeunes artistes, amateurs et jeunes professionnels de trouver des lieux inédits et éphémères pour exposer leurs travaux. Ce projet est porté par une toute jeune association. La demande est globale et complète : trouver des partenaires, créer un nom, créer un site INTERNET, créer une dynamique de communcation

Le deuxième est un projet “évènement sportif et solidaire” : aider une association qui organise une course pur aider la recherche du cancer chez les hommes à animer et dynamiser cette course grâce à des actions d’animation

Le troisième est orienté professionnel. L’ESFAC propose de travailler sur des projets évènementiels étudiants pour dynamiser la vie scolaire. Alors pourquoi pas un char école à construire pour le Carnaval étudiant, une vidéo sur les filières, un évènement d’intronisation ou de clôture d’année.

AMIFOR qui anime les ateliers de production avec Nicolas Lemercier, graphiste et illustrateur trouvent là une belle occasion de pratique professionnelle et de relation annonceur.

Mais apparemment nous ne sommes pas les seuls. Petit coup d’oeil vers nos confrères du Sud Ouest , Le Lycée Palissy à Agen  :

Unique en Lot-et-Garonne

Unique formation de ce type en Lot-et-Garonne, ce BTS présente de nombreux avantages pour les futurs diplômés.  À l’heure où les lycéens s’apprêtent à formuler leurs vœux sur le site admission post bac, le proviseur a rappelé qu’il était possible de découvrir le BTS au cours d’une journée d’immersion (dispositif «Vivre une journée d’étudiant») Cette année, la promotion compte 33 élèves en 1re année, et 28 en seconde année. Yannick Boyer, l’enseignant qui encadre les projets menés par les étudiants au cours des deux années, souligne la forte dimension professionnelle du diplôme. Outre les 14 semaines de stages, la «conduite de projets réels proposés par des entreprises, institutions publiques ou associations est privilégiée.»

AMIFOR a reconstruit son site tout nouveau !  tout beau !

AMIFOR a reconstruit son site tout nouveau ! tout beau !

AMIFOR® a reconstruit son site… Un site ludique et attrayant tout en couleurs, comme veulent s’afficher les formations. Rien de statique, tout évolue.

Découvrez notre collectif, nos fiches formations, nos informations. Bientôt un intranet à la disposition des stagiaires e qui va permettre aux formations actions d’opérer un suivi.

On aime AMIFOR® ! Capture d’écran 2015-09-26 à 08.23.13

UNREP : Un réseau d’établissement qui introduit l’outil carte mentale

UNREP : Un réseau d’établissement qui introduit l’outil carte mentale

AMIFOR intervient au sein du réseau UNREP avec des formations dont la thématique est les outils pédagogiques innovants, le projet de communication… Un article écrit par MC Lefebvre sur l’enjeu de la carte mentale, outil pour une pédagogie différenciée. Un témoignage des enseignants de l’établissement AGIR à Langon.

Pour bénéficier d’une formation si vous appartenez à cette fédération d’établissement appelez AMIFOR ou l’UNREP (0141831420)

Ci dessous carte mentale réalisée en formation à Langon, Lycée AGIR : Les étapes d’une visite en entreprise.Capture d’écran 2015-09-26 à 15.20.29

Lire également article carte mentale UNREP

Une journée à St. Joseph

Une journée à St. Joseph

Mercredi 15 octobre, AmiFor (33id) a rendu visite à l’équipe pédagogique de différents établissements provenant de la région Basse-Normandie.
Présente pour l’occasion à l’institut St. Joseph, l’équipe d’AmiFor, aidé par les deux stagiaires de 33id, avait pour but de présenter et de former le corps professoral aux cartes mentales.
Cette journée a suivi un plan bien précis :

– 8h30 : Présentation du MindMaping
– 11h : Initiation à la carte mentale « Qui suis-je ? »
– 12h : Pause déjeuner
– 13h : Ateliers par niveau (primaire, collège et lycée) création de cartes mentales en groupes
– 15h30 : Mise en commun des différentes cartes et conclusion
16h30 : Fin de la journée

Après un rapide café d’accueil et une fois tous les professeurs entrés dans l’amphithéâtre, les employés de AmiFor, Eléonore, Christèle et Marie-Christine ont pu commencer la conférence ayant pour thème les cartes mentales et leurs utilisations. Beaucoup d’informations ont été donné quant aux enjeux et aux différentes méthodes d’applications de celles-ci. Suite à cela, les enseignants en costume d’étudiant ont eu droit à leur premier exercice. La création d’une carte mentale de présentation. Ceci fait, elles ont été critiqué par l’équipe avant la pause-déjeuner dans la cafeteria de l’établissement.
Après cette pause d’une heure, le corps professoral s’est séparé en trois groupes suivant leur niveau. Chaque niveau comportant 5 groupes de 4 à 5 professeurs. Ces groupes avaient pour mission de créer une carte mentale chacun sur un sujet de leur choix en suivant une des différentes méthodes découvertes dans la matinée (CQQCOQP, chronologique, brainstorming.)
1h30 de travail acharné plus tard, tout le monde se rejoint de nouveau dans l’amphithéâtre afin de présenter et commenter leurs cartes mentales.
Chaque professeur ayant désormais découvert plus en profondeur les cartes mentales, c’est instruit, que ceux-ci repartirent et c’est content de leur journée que l’équipe d’AmiFort repartie à son tour.

Merci à tous les participants d’être venus, à l’équipe d’AmiFor pour leur organisation et leurs connaissances, et aux stagiaires pour leur précieuse aide.Caen_Institution_Saint-Joseph