Je dis ce que je veux : Le design Thinking

Je dis ce que je veux : Le design Thinking

Design Thinking veut dire : démarche créative conceptuelle

Le design thinking est une approche de l’innovation et de son management qui se veut une synthèse entre la pensée analytique et la pensée intuitive. Il fait partie d’une démarche plus globale appelée design collaboratif (définition Wikipedia)

Parfois il est nécessaire d’appeler un loup un loup. Jusqu’alors notre centre de formation Amifor (Accompagnement du management de l’innovation par le formation) et notre agence de conseil en innovation 33id® proposaient à ses potentiels clients des démarches créatives collaboratives pour prioriser
de nouvelles approches de concepts et produits.

Le mot « créativité » faisant peur aux décisionnaires. C’est un fait, derrière le terme créativité, Il y a une connotation d’artiste, huluberlu, fantasque, rêveur, communicant, enthousiaste, altruiste, cerveau droit qui ne colle pas toujours avec l’esprit linéaire, conformiste et gestionnaire de la plus part des chefs d’entreprise en recherche de rentabilité et d’efficience.

Il fallait alors trouver un autre nom à au bout du compte angliciser la même démarche
et c’est fait !

Je suis heureuse de pouvoir vous annoncer que Amifor®, notre centre de formation ainsi que 33id®, notre agence de conseil pratiquent cet accompagnement Design Thinking  autrefois nommé démarche créative ! Nous proposons également une démarche Naming Thinking (trouver un nom de marque : sa validité juridique et sa pertinence marketing).

Ci dessous, notre dernière séance de Design Thinking dans l’entreprise
« Editions la Souris Verte » tout près de Périgueux.

Design Thinking avec Amifor et 33id

En entreprise recherche d’idées et de concepts avec le design thinking. Une démarche de créativité collaborative et conceptuelle. DR MC Lefebvre 33id

Jeudi ce que je veux : le positif du négatif

Jeudi ce que je veux : le positif du négatif

Il existe une technique en créativité qui se nomme : le positif du négatif. Pourquoi ? Parce que l’être humain, systématiquement, perçoit plus facilement tous les aspects négatifs d’une situation ou d’une question que ces aspects positifs.

Le positif du négatif : trouver des solutions en évoquant d’abord le côté négatif

Comment alors sur une question donnée, trouver des solutions, ou des commencements de solutions après avoir décrit la dite situation de façon négative ?

 En reprenant chaque élément négatif et soit en le positivant, soit en « jouant » sur l’élément négatif pour le rendre positif.

Je suis bloquée dans un bouchon ?

Comment tourner cette situation pour qu’elle devienne positive ?

Je perds du temps = je gagne du temps

Et donc :

  • Faire réviser une leçon aux enfants assis derrière,
  • Ecouter un post cast d’une émission radio,
  • Reprendre la liste de Noel et les cadeaux à faire.
  • Repenser mentalement chaque partie de son corps pour gagner de l’énergie

Cette approche : positiver les aspects négatifs d’un contexte est également appelé : tirer leçon de l’échec ou d’une crise vécue !

Tentons un contexte stressant :

Avant de passer un examen oral peut-on faire visualiser à nos enfants ou élèves , pourquoi l’oral peut échouer :

  • Il n’y a pas d’électricité pour brancher mon ordinateur
  • La chaise sur laquelle je dois m’asseoir est cassée.
  • Le jury est sourd
  • Il fait froid dans la pièce
  • Il n’y a pas d’éclairage
  • J’ai oublié mes notes
  • Je suis aphone
  • Je stress et suis bloqué
  • J’ai oublié mes lunettes
  • Je ne connais pas le sujet tiré au sort

Allez prêtez vous au jeu avec vos étudiants ou vos enfants ?
Quelle solution envisager pour chaque situation négative ?
Commençons : le jury est sourd.
=   Je parle clairement, j’articule. Je ne parle pas en baissant la tête. (il doit lire sur mes lèvres…)
A vous de poursuivre…

MC LEFEBVRE

Pour suivre une formation sur les jeux de créativité et d’apprentissage : https://www.amifor.fr

 

 

Un forum ouvert à tous dédié à l’innovation inversée

Un forum ouvert à tous dédié à l’innovation inversée

Sciences et Avenir est partenaire d’un forum dédié à une approche innovante en santé, l’innovation inversée, qui aura lieu à Paris les 31 mai et 1er juin 2018 et pour lequel les inscriptions sont ouvertes.

Un forum ouvert à tous dédié à l'innovation inversée

FamX est un forum ouvert à tous et gratuit, sur inscription.
© Fondation de l’Académie de Médecine

L’innovation inversée, vous connaissez ? C’est le fait de concevoir des produits dans et pour les pays émergents, puis les vendre dans les pays industrialisés. Cette approche novatrice, de plus en plus utilisée dans le domaine de la santé, fait l’objet d’un forum ouvert à tous (et gratuit), baptisé FAMx, organisé par la Fondation de l’Académie de Médecine à l’Unesco (Paris) les 31 mai et 1er juin 2018 et dont Sciences et Avenir est partenaire. “L’innovation inversée fait référence aux innovations élaborées dans les BRIC (Brésil, Russie, Inde, Chine) et autres pays émergents qui sont susceptibles d’être utilisées pour améliorer les systèmes de santé les plus développés et de répondre aux défis majeurs de la santé dans le monde tels que les déserts médicaux, l’optimisation des coûts des systèmes de santé, l’évolution du rôle des professionnels de santé”, explique la Fondation de l’Académie de Médecine, reconnue d’utilité publique en 2013 et qui a pour mission de favoriser l’accès au meilleur de la santé pour le plus grand monde en accélérant la diffusion, au plan international, des pratiques médicales de pointe.

12 innovations inversées à l’honneur

Au programme de ces deux jours, des tables-rondes et conférences auxquelles participent plus de 40 orateurs venus de 18 pays du monde entier. Douze innovations inversées sont mises à l’honneur, comme “MDiabète”, un programme sénégalais de téléphonie mobile pour prévenir et prendre en charge le diabète, “Lifetrack Medical Systems”, une plateforme technologique destinée à pallier la carence en radiologues aux Philippines, ou encore Jaipur Foot, une entreprise indienne qui distribue des prothèses de genou, de pied ou de jambe à moindre coût dans 29 pays. Des expériences locales réussies seront présentées, dont un protocole permettant d’opérer la cataracte pour 20 dollars au Népal alors que cette opération coûte… 3000 dollars aux États-Unis ! 400 personnes peuvent participer gratuitement à l’événement. “Les interventions seront en français et en anglais, mais tous les participants auront un casque avec traduction simultanée dans les deux langues, leur permettant aussi de poser des questions dans la langue de leur choix”, précise la Fondation de l’Académie de Médecine. Pour vous inscrire, cliquez sur ce lien.

Académie de Toulouse : Un concours pour dénicher les jeunes talents

Académie de Toulouse : Un concours pour dénicher les jeunes talents

À Canopé Montauban, Stéphane Delzongle et Catherine Juston-Coumat accompagnent les écoles dans leurs projets numériques et mettent à disposition leurs petits robots./ Photo DDM, Manuel Massip
 
Promouvoir le numérique sous toutes ses formes. Usage des réseaux sociaux à des fins pédagogiques, programmation de robots, création de drones, fabrications de jeux virtuels, musique assistée par ordinateur… la liste est aussi longue que l’imagination et la créativité des enfants. Le Rectorat de Toulouse s’est appuyé sur le réseau Canopé pour créer un concours dédié au numérique. Il est ouvert à toutes les classes de la maternelle à la terminale. Il suffit à un enseignant de monter un projet et de déposer la candidature de sa classe avant le 31 mars 2018. «Nous sommes là pour les aider et porter avec eux leurs projets. Nous avons des outils, nous sommes en relation avec tout le réseau de création et d’accompagnement pédagogiques pour travailler avec les maîtres et maîtresses du département, explique Stéphane Delzongle, médiateur numérique éducatif. Il faut simplement oser, ne pas avoir peur du numérique. Les enfants sont toujours très motivés pour se lancer dans de tels projets créatifs.»