Le confinement nous a tous boosté ou obligé. Face à nos élèves il a fallu transférer nos cours en face à face en cours distanciel. Et là “patatra”, l’attention, le gestuel tout ce qui nous permettait d’impacter notre classe et de concentrer l’attention de nos élèves nous échappe. De multiples sollicitations numériques sont venues à notre secours, mais que faire et quand ? tout en conservant le lien avec notre communauté d’apprenants. Là est la question
La période de confinement a montré que la transférabilité à distance des tâches que les professeurs demandent à leurs élèves de pratiquer en présentiel au quotidien n’avait rien d’automatique. Dans le cadre d’un enseignement distanciel, certaines tâches semblent plutôt à éviter tandis que d’autres requièrent d’être adaptées pour se révéler efficaces. Les deux tableaux suivants qui ont été édités par André Tricot, professeur à l’université de Montpellier résume bien les transcriptions à faire ou ne pas faire.
Marie-Christine Lefebvre, Amifor.
Sur le site de l’Université TELUQ (Université québécoise à distance), une page intéressante montrant les avantages / inconvénients respectifs et les articulations possibles entre temps de formation synchrones et asynchrones :
https://jenseigneadistance.teluq.ca/mod/page/view.php?id=499