La pédagogie positive, qu’est-ce que c’est ?

La pédagogie positive, qu’est-ce que c’est ?

La Faute à Rousseau série dramatique sur France TV 2 les mercredis soir et en replay (crédit photo : J-P. BALTEL / DEMD PRODUCTIONS / FTV)

La pédagogie positive s’intéresse à l’environnement dans lequel l’enfant évolue afin de définir précisément ses attentes et ses difficultés. 

Cette méthode prend en compte les aspects cognitif affectif et somatique (esprit, cœur, corps).

La pédagogie positive prend en compte les émotions et les sentiments de l’enfant. A travers la roue des besoins, il est possible de percevoir les attentes de l’enfant selon différentes situations.

Il est important de considérer les besoins des enfants et de les écouter pour apporter un bon climat social entre l’élève et l’enseignant. Cela favorise considérablement le bon développement cognitif et affectif des enfants. C’est également un moyen pour l’enseignant de mieux comprendre l’élève et de pouvoir bien réagir à ses comportements. 

La Faute à Rousseau série dramatique sur France TV 2 les mercredis soir et en replay (crédit photo : J-P. BALTEL / DEMD PRODUCTIONS / FTV)

Une approche bienveillante et respectueuse envers l’élève pour lui assurer les meilleurs apprentissages.

Les objectifs de cette pédagogie sont de prouver qu’il est possible d’apprendre tout en s’amusant, de permettre à l’enfant de développer sa confiance en lui ou de lui redonner confiance en ses capacités et de favoriser des apprentissages durables.

La pédagogie positive au sein de notre centre de formation AMIFOR 

Au sein de notre collectif, Sylvie Scheirlinck et Julie Mialon proposent ainsi des formations à ce sujet aux établissements scolaires afin de partager cette méthode au plus grand nombre et de montrer ses enjeux positifs.

Etant toutes les deux psycopédagogues, elles sont intervenu dans un webinaire organisé par l’association Phobie Scolaire afin de nous présenter la psychopédagogie positive, fortement en lien avec la pédagogie positive.

 https://www.youtube.com/watch?v=dVNwSYEWL9w

 

La Faute à Rousseau série dramatique sur France TV 2 les mercredis soir et en replay (crédit photo : J-P. BALTEL / DEMD PRODUCTIONS / FTV)

La Faute à Rousseau série dramatique sur France TV 2 les mercredis soir et en replay (crédit photo : J-P. BALTEL / DEMD PRODUCTIONS / FTV)

Rédigé par Chloé Boisyvon et Anaïs Marchegiani.

Publié par Anais Marchegiani, responsable communication digitale AMIFOR.

Plus d’informations : www.amifor.eu

Notre site : Cliquez ici !laughing

 

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ADOKA LEARNING, l’application pour travailler avec les intelligences multiples au collège et lycée

ADOKA LEARNING, l’application pour travailler avec les intelligences multiples au collège et lycée

La Faute à Rousseau série dramatique sur France TV 2 les mercredis soir et en replay (crédit photo : J-P. BALTEL / DEMD PRODUCTIONS / FTV)

Adoka Learning® est une application créée et développée par AmiFor. C’est un outil pour travailler avec ses élèves en utilisant la théorie des intelligences multiples. L’application lancée ce début Avril peut s’accompagner d’une formation. Tout particulièrement destinée aux élèves du collège et du lycée, elle sera adaptée prochainement à l’enseignement en primaire.

 

Photo : Les 4 grandes étapes de l’application.

Enseigner avec les intelligences multiples (théorie d’Howard Gardner) a séduit et séduit encore de nombreux enseignants. La théorie qui s’appuie sur l’observation qu’il existe huit manières pour chacun d’entre nous de rentrer dans les apprentissages et de capter et mémoriser les informations qui nous entourent permet, en fait, de différencier la pédagogie en fonction du profil de l’élève et ainsi mieux adapter et diversifier son ingénierie vis-à-vis d’un groupe d’élèves.

Lever les freins de temps et des combinaisons pédagogiques

Il existe cependant un frein réel pour la plupart des enseigannts et formateurs : les moyens et le temps d’observer ou questionner les élèves, enregistrer leurs réponses de façon à définir leur profil (radar) et pouvoir ainsi proposer les stratégies de travail les plus adaptées. Cela Amifor a pu l’observer dans les différentes formations que le centre a dispensé au cours de ces dernières années.

Deuxième frein : comment mémoriser, conserver ces profils et travailler avec (en groupe, demi groupe, binômes) en sachant associer des élèves (en fonction des apprentissages) .

Mieux se connaître pour comprendre comment adapter ses consignes et l’ingénierie de ses cours

Je me souviens d’une jeune enseignante  d’anglais de cycle 4 ( Trouville / Normandie) me racontant sa mésaventure. Elle avait pour sa première année préparer un cours avec des supports vidéo. Cette première année s’était bien passée. Elle était satisfaite des résultats de ses élèves. Sûre d’elle, avec les mêes supports elle aborde sa deuxième année d’enseignemant avec un nouveau groupe classe. Patatra plus rien ne marche. les élèves sont dissipés… Ma formation Intelligences multiples arrive à point. Elle relève les profils de ses élèves et constate que son groupe classe se compose à 70% d’élèves majoritairement doués d’une intelligence Corporelle. Elle décide alors d’adapter ses méthodes et introduit des jeux de rôles et favorise les élèves au tableau multipliant les déplacements dans la classe. C’est gagné ! En faisant son propre diagnostic elle découvre que son profil majeur est visuel. C’est ce qui l’avait amener à créer son premier cours à base de vidéos.

Adoka Learning permet à chaque enseignant d’obtenir son profil mais également de comparer à son groupe classe. De se poser les bonnes questions.

Monter des groupes polychromes ou monochromes et tester les animations

Adoka learning permet, une fois les profils de tous les élèves introduits dans l’application de composer différents groupes et d’ainsi obtenir le profil majeur pondéré du groupe (l’intelligence la plus réccurente parmi les intelligences les plus couramment citées comme majeures (parmi les 4 premières de chaque élève), ou tout simplement de composer des groupes avec des profils différents.

Enfin, l’enseignant pourra enregistrer sa fiche animation cours  “intelligences multiples” et la conserver dans ses ressources, celle de l’établissement, la partager avec la communauté Adoka®.

ADOKA learning : L’établissement choisit son abonnement et peut ajouter des jetons tests

Adoka Learning ® est une application web à laquelle l’établissement s’abonne. L’abonnement est mensuel. Plusieurs pack sont proposés en fonction de la taille de l’établissement et du nombre d’enseignants intéressés pour travailler avec. Plusieures solutions sont envisageables.

Du Pack découverte (un enseignants 30 jetons élèves à la souscription  et 10 euros/ mois) au Pack gold ( autant d’enseignants que désiré, 200 jetons élèves dès la souscription et 50 euros/ mois), découvrez les propositions.

Ajoutons à cela que les enseignants peuvent utiliser un test élève qu’ils élaborent eux mêmes à la condition que ce test soit validé par Adoka et conforme à la Théorie des Intelligences Multiples donc certifié par Adoka.

L’objectif d’Amifor et d’Adoka est que les intelligences multiples puissent séduire un plus grand nombre d’enseignants et permette un plus grand bien-être des élèves et des enseignants.

 

Rejoignez nous sur Adoka : www.adoka.fr

 

MC Lefebvre,

 

 

 

 

 

 

 

La philo à l’école, où en est-on ?

La philo à l’école, où en est-on ?

La Faute à Rousseau série dramatique sur France TV 2 les mercredis soir et en replay (crédit photo : J-P. BALTEL / DEMD PRODUCTIONS / FTV)

La philo à l’école ? Cela vous rappelle-t-il des souvenirs ? moi oui en terminale avec M. B… qui tentait désespéremment de faire apprécier la philo et ses concepts à nos chères têtes vagabondes et idéalistes sans connaître le sens exact d’idéal… d’ailleurs.

 

 

Photo :  les élèves de Benjamin Rousseau dans la fiction de la faute à Rousseau © Jean-Philippe BALTEL – FTV – DEMD PRODUCTIONS

Comment l’enseignant apprend-il aux élèves à philosopher ? En quoi consiste, pour l’élève, l’acte de philosopher ? En d’autres termes, comment l’enseignant peut-il appréhender en termes d’apprentissage la spécificité du questionnement philosophique, et comment celui-ci se distingue-t-il, en particulier, des modes d’acquisition des connaissances nécessaires aux démonstrations des vérités mathématiques ? Que fait l’apprenant à travers la pratique du débat philosophique en classe si, comme l’a rappelé Emmanuel Kant, au siècle des Lumières : « À la différence des mathématiques, la philosophie ne s’apprend pas » ?

Philosopher : apprendre à dire ce que l’on pense ou à penser ce que l’on dit ?

Une autre difficulté à laquelle se heurtent les enseignants dans leurs pratiques concerne un paradoxe apparent qui est au centre de la conception du débat philosophique à l’école. Il s’agit de savoir comment prétendre favoriser à la fois la libre expression de chacun, et répondre à l’exigence fondamentale de la philosophie qui impose de se détourner de l’opinion.

Ce qui oppose le philosophe (amoureux de la sagesse) au philodoxe (celui qui s’attache à l’opinion), c’est que le premier tend vers une quête désintéressée de la vérité, quand l’autre recherche le pouvoir en s’appuyant sur l’opinion pour séduire et manipuler les foules. Pour l’enseignant, l’enjeu est d’apprendre aux élèves à ne pas confondre le débat philosophique avec un débat d’opinions. L’opinion, étymologiquement se rapproche de la croyance : c’est une prise de position par le sujet pouvant aller de la simple expression à la ferme affirmation. C’est un « tenir pour vrai » qui ne cherche pas à se soumettre à l’examen critique. Ce qui permet de distinguer l’énoncé philosophique d’une simple opinion, c’est le souci de vérité. Le discours philosophique est un discours raisonné et argumenté qui se donne pour but la découverte de la vérité. Le travail de l’élève, à travers le questionnement philosophique, consiste donc à apprendre à analyser, à essayer de comprendre et de mettre à jour mettre à jour les contradictions qui sont à l’œuvre dans une affirmation, ou une proposition.

Comprendre comment et pourquoi philosopher avant  d’aborder « le programme » Les stratégies sont différentes.

Quelques-unes expliquées par des enseignants de philosophie

Jonathan :

« Je débute mon année de cours avec pour objectif de non pas amener la philosophie vers les élèves mais que les élèves puissent se diriger vers la philosophie. En ce sens, il n’est pas question de simplifier ou d’atténuer certains moments plus ardus ou moins évidents. Je me méfie des méthodes cherchant à rendre la « philo plus cool » ou à simplifier certains auteurs. Vouloir rendre sympathique notre discipline, c’est faire sous-entendre qu’elle serait ennuyeuse ou barbante. Ma « stratégie » consiste à faire que le propos du cours soit vivant ou polémique pour susciter chez les élèves le désir de penser, de réfléchir, de se contredire, et supprimer la honte de se tromper, de ne pas comprendre ou de ne pas savoir. Il me semble que c’est un aspect de la méthode socratique, celle qui a valu à Socrate de donner ses lettres de noblesse à la philosophie”

Lucile :

« Faire aimer la philosophie aux élèves est un challenge, surtout que nous n’avons qu’une année pour leur faire découvrir la matière et les préparer au bac. En début d’année, avec mes terminales L, j’ai organisé une sortie « Rando philo » pour faire connaissance avec la classe et leur présenter la philo tout en marchant, un peu à la manière des philosophes de l’Antiquité. J’ai également mis en place un petit-déjeuner philosophique : après avoir étudié le Banquet de Platon avec mes TL, je leur ai proposé de faire la même chose que Socrate et ses comparses, chaque élève a fait un discours sur l’amour, puis nous avons débattu de ce thème, le tout devant un petit déjeuner. Je propose aussi des ateliers pluridisciplinaires, avec mes collègues d’anglais ou de SVT, pour montrer les liens possibles avec les autres matières.”

Simon :

« On peut faire aimer la philosophie par la philosophie. Il faut attirer par la philosophie elle-même et il n’y a pas besoin d’artifices. Il n’y a pas à ruser, à se rendre « sympa » ou à s’imposer façon coach. Il faut assurément une sensibilité à ce qui parle à un adolescent, à ce qui sera le meilleur départ, l’amènera à ce retour sur ses opinions qui est immédiatement personnel et engage.”

On peut aussi démarrer de bonne heure, et pourquoi pas en maternelle ?

Amifor propose  une formation pour apprendre aux enseignantes de maternelle d’animer des ateliers de philosophie avec Gaelle Sibille et ce dès la maternelle et plus généralement au primaire.

L’objectif est d’inscrire les enfants ayant accès au langage dans une extériorisation des sentiments, dans la reconnaissance de l’autre et de l’impact de ses actions sur son environnement. Réussir à amener l’enfant à construire une réflexion construite et décentrée sur des sujets de sa vie quotidienne. (formation inscrite au catalogue Formiris Grand Est, mais également sur demande)

En attendant, un bon divertissement : la faute à Rousseau

Traiter cette question à travers des personnages symboliques est le pari de la reprise d’une série espagnole « la philo » à travers la série « la faute à Rousseau » sur TV2. Huit épisodes, 8 thématiques : la liberté, l’amour, le devoir, l’identité, l’injustice, le désir, la vérité et le bonheur.

Une mise en situation habilement pensée et des personnages on ne peut plus attachants…… Puisque je compte mon neveu, Victor Lefebvre (Ethan) parmi les élèves dans le thème de l’identité !!!!!!!

 MC Lefebvre

 

Sources : Wikipedia, Cairn.info, vousnousils.fr

 

 

 

 

 

L’enseignement en distanciel : ce qui marche ou pas

L’enseignement en distanciel : ce qui marche ou pas

enseignement numérique

Le confinement nous a tous boosté ou obligé. Face à nos élèves il a fallu transférer nos cours en face à face en cours distanciel. Et là “patatra”, l’attention, le gestuel tout ce qui nous permettait d’impacter notre classe et de concentrer l’attention de nos élèves nous échappe. De multiples sollicitations numériques sont venues à notre secours, mais que faire et quand ? tout en conservant le lien avec notre communauté d’apprenants. Là est la question

La période de confinement a montré que la transférabilité à distance des tâches que les professeurs demandent à leurs élèves de pratiquer en présentiel au quotidien n’avait rien d’automatique. Dans le cadre d’un enseignement distanciel, certaines tâches semblent plutôt à éviter tandis que d’autres requièrent d’être adaptées pour se révéler efficaces. Les deux tableaux suivants qui ont été édités par André Tricot, professeur à l’université de Montpellier résume bien les transcriptions à faire ou ne pas faire.

 Marie-Christine Lefebvre, Amifor.

tableau des correspondances numeriques

 

 

 tableau actions numeriques

 

 

 

 

 

 

Rendre flexible sa classe : un projet à plusieurs étapes

Rendre flexible sa classe : un projet à plusieurs étapes

amenagement classe flexible

Elles s’appellent Emilie, Joannie. La plupart des enseignants qui ont décidé de se lancer dans la flexibilité travaillent dans le premier degré. Mais des expérimentations sont également menées en collège, au lycée. La flexibilité est avant tout un état d’esprit. Une volonté de recherche du confort dans les apprentissages des élèves. Petit tour de piste.

Tout d’abord qu’est ce que la flexibilité en milieu scolaire ? La notion de flexibilité de classe et née aux Etats-Unis et Canada. En fait, un transfert de l’entreprise vers la classe. L’idée est de rendre plus confortable l’apprentissage, grâce à trois clés : le confort physique, le confort physiologique, le confort cérébral (moins de stress et mieux adapté au profil d’apprentissage.

C’est un fait, une simple observation. Notre corps et notre esprit pour apprécier et donc rentrer dans des apprentissages ont besoin de “confort”. De stimulations positives. Mais également de changements. Donc, des changements de posture que notre cerveau apprécie tout particulièrement, quand il s’agit de devenir créatif. Créatif dans le sens de “trouver des solutions à un problème poser”. On parle alors de créativité résolutive.

Y aller “piano” et toujours se remettre en question

Quand en tant que formateurs nous allons travailler avec des enseignants sur la flexibilité, ce qui les effraie le plus est la mise en autonomie complète des élèves et donc le manque possible de contrôle sur une classe de” 30 et quelques” élèves “éparpillés”. Alors, rassurons nos futurs stagiaires, la flexibilité est une discipline dans laquelle on rentre par étape. Chaque étape doit être respectée et la réflexion accompagnera chacun des passages vers l’étape suivante. En s’assurant tout d’abord que nos élèves et nous mêmes en redemandons ! Et que motivation, engagement dans les apprentissages, voire progrès dans les résultats sont déjà là.

Emilie, elle n’en doute pas. C’est une pratique récente pour elle, mais les résultats se font déjà ressentir. Sa pratique d’enseignante évolue également. Elle aime cette attitude de recherche et d’observation qu’elle a mis en place. Aujourd’hui elle nous a rejoint chez Amifor pour transmettre ses pratiques à d’autres collègues.

Chez Amifor, on a construit la pyramide de la flexibilité. Impossible de traiter la flexibilité pédagogique avant d’être passée par les trois autres paliers.

Les 4 degrés de la flexibilité

La première vous l’aurez compris est la flexibilité ergonomique. Choix d’assises différentes et d’endroits dans lesquels on peut évoluer, notion d’espace et de déplacements facilités.

Puis on va traiter la flexibilité lié à l’environnement. De quoi s’agit-il ? Une classe flexible bouge,les élèves également. Les mouvements,les déplacements ne doivent pas cependant déranger les collègues. Tous ne sont peut être pas en flexibilité… Comment alors régler ces “indélicatesses ? ” Quelques astuces sont à réfléchir. Egalement, doit-on s’abstreindre à l’espace de la classe. Flexibilité veut dire : s’étendre. Comment raisonner les espaces autour de la classe pour les faire rentrer dans notre schéma ?

Troisième flexibilité, la flexibilité physiologique. Boire, se reposer, goûter, aller au “petit coin”. Comment introduire ces temps dans une classe flexible ?

Enfin reste un gros morceau : la flexibilité pédagogique. Le gain d’autonomie dans la rythme et la prise de décision des apprentissages. Un long chapître sur lequel il faut venir avec réflexion. Les approches sont déjà connues pour la plupart. Pédagogie différenciée, coopérative, intelligences multiples, Montessori. Le fait est qu’il faut savoir les combiner et adapter les outils et le matériel. Paris ne s’est pas construit en un jour, votre classe flexible non plus. Tests, essais. Les apports en numérique peuvent également permettre ces prises d’autonomie : pédagogie inversée. Chaque enseignant trouvera son confort et ses limites.

Marie-Christine Lefebvre, Amifor.

 

A voir également, notre reportage à Tilly sur Seulle, Sacré Coeur