Jeudi ce que je veux :  Portables interdits ! si ils le font, alors nous devons l’appliquer !

Jeudi ce que je veux : Portables interdits ! si ils le font, alors nous devons l’appliquer !

Ma classe de BT1 com AIFCC Caen, moi même et notre chargée de communication AIFCC  avons eu le bonheur d’être reçues à l’Elysée, la semaine dernière pour une visite  du Palais Présidentiel, une compréhension de son histoire, ses vécus et  son Protocole.

Invités par le service communication de l’Elysée, les élèves de BTS1 com ont pu aller à la rencontre de l’histoire de France et du Protocole en vigueur au Palais Présidentiel.

Un privilège qui n’est pas donné à tout le monde et qui a permis aux élèves d’être baignés dans la réalité quotidienne de la Présidence et des salariés qui servent le lieu. Ce “temps particulier” est l’aboutissement d’une démarche entreprise par un groupe d’élèves assez “culottés” pour tout d’abord obtenir, pour un exposé,un ITV de la responsable de communication de l’Elysée et demander par la suite une visite possible des services et du lieu.

Ce qui m’a le plus marqué, en tant que formateur accompagnant est le dévouement et la culture de note guide, ancien responsable de la Sécurité de l’Elysée et la boîte rouge où sont consignés les portables de chaque Ministre  avant tout Conseil du mercredi pour éviter perturbations, fuite d’infos et peut être trop de … distractions !!

 

La consigne à portables des Ministres…

Si nos décideurs nationaux savent se plier à cette règle pourquoi pas nos élèves ? La boîte rouge devrait pouvoir exister dans chaque classe et  la règle suivie par chaque élève, si telle est la volonté de l’enseignant ou du formateur.

Etre prof.fr : des vidéos qui donnent envie de faire autrement !

Sur Youtube, vous trouverez une série de vidéos à visionner pour vous donner envie d’être ou de continuer d’être prof.

Amifor visionne ces vidéos durant ses formations. Des témoignages qui donnent envie de travailler autrement avec ses élèves.

Des formations cartes mentales peuvent être organisées dans vos établissements :

carte manuscrite
carte numérique

Prenez contact

0647699733

amifor@33id.fr

 

 

Pourquoi une « cogni’classe »? (classe inversée)

Le lycée Guy-Chauvet teste la “controversée” pédagogie inversée: chez lui, l’élève apprend son cours et, en classe, il applique les connaissances acquises.

Pourquoi une « cogni’classe »? Les sciences cognitives de l’apprentissage aident l’enseignant à mieux connaître le cerveau des élèves. Elles aident aussi les élèves à mieux se connaître pour se motiver à l’école, à apprendre et à mémoriser plus facilement. L’élève utilise des outils et supports de mémorisation. Pour cela, explique Elisabeth Soulassol, « j’ai fait par exemple un mur qui s’appelle fiche de mémorisation. L’élève utilise tous les supports: livres, vidéos… et je les interroge par un contrôle écrit, et régulièrement je reprends en classe. »

C’est quoi la pédagogie de la classe inversée? « Devant un constat d’échec de la pédagogie traditionnelle », la professeure de français dépose les cours sous forme de vidéos, d’articles, d’entrevues… sur un mur collaboratif. « Moi j’ai mis tous mes cours sur ce mur et ils savent à l’avance ce qu’ils doivent travailler. » Les élèves prennent connaissance des cours et les apprennent à la maison. Ils peuvent déposer leurs travaux sur ce mur. En classe, les élèves travaillent en groupe et réalisent des exercices, échangent avec leurs camarades et sont actifs. Ils utilisent la tablette ou le téléphone portable. L’enseignant peut d’avantage accompagner les élèves et les aider à approfondir leurs cours.

Le travail de groupe privilégié. Les élèves travaillent par groupe de trois avec une tablette, chacun ayant une responsabilité sur le groupe. L’utilisation de gobelets de couleur (vert, orange ou rouge) permet aux groupes de solliciter ou non leur professeure. L’un d’eux livre son point de vue: « On a des questions sur un dossier et on doit trouver les réponses. C’est motivant, on est plus autonome et c’est plus dynamique ».
Pour la professeure, « même les plus faibles progressent. Il y a une émulation. On peut reprocher le travail de groupe. En réalité, cela leur permet d’écouter l’autre, le respecter et aussi avancer ensemble ». Ils enregistrent leur travail sur tablette ou photographient leurs cahiers. Ainsi « en temps réel je sais toujours ce qu’ils font. C’est important pour eux de voir que tout est valorisé ». 

Pas du « tout numérique ». C’est un choix d’établissement d’encourager cette méthode d’enseignement, avec l’acquisition de tablettes. Pour autant, « le numérique est juste un outil, ce n’est pas une fin en soi. Il faut aussi que les élèves sachent écrire sur du papier pour le bac ». Énormément de travail de préparation pour la professeure, seule enseignante à utiliser ces préceptes et qui prône la mutualisation avec ses collègues et pour qui « l’enseignant doit changer de posture vis-à-vis de son travail, des élèves et de ses collègues ».

 

JEUDI ce que je veux, la vieillesse déborde …également

La « vieillesse de nos aînés est au centre des débats de cette semaine. La société prend conscience de l’Etat des EPHAD, ces établissements qui accueillent nos aînés quand plus aucune solution n’est possible. Pourquoi nous laissons nous déborder par ce problème ? Parce que nous ne désirons pas l’évoquer. Evoquer la part de nous, actifs, jeunes qui va vieillir et envahir notre reflet. Nous rejetons cette part de nous mêmes, notre avenir, l’avenir de nos parents… à plus tard. Et la situation devient honteuse. L’école est un lieu d’apprentissage et d’éducation. Multiplions et récompensons les actions qui permettent aux élèves sur l’initiative de leurs enseignants d’agir pour nos aînés. De Repenser un monde meilleur où l’ainé reviendra à sa place d’honneur : au cœur de nos familles. Un ainé accompagné et soutenu, écouté et respecté.

Des jeux alliant modernité et réalité kinésthésique

Des jeux alliant modernité et réalité kinésthésique

Jeu Nintendo maquette carton robot

La semaine dernière, le fabricant de jeu vidéo japonais Nintendo a surpris son monde avec la présentation du Nintendo Labo : des mini-jeux sur sa console Switch à jouer avec des accessoires à monter soi-même… en carton !

Quand on parle innovation dans le jeu vidéo, on pense aux casques de réalité virtuelle, par exemple. Nintendo, lui, innove avec du carton

Personnalisation et démonstration

Outre les jeux et les accessoires, Nintendo Labo proposera un manuel pour monter ses Toy-Con (sans colle ni ciseaux), mais également des explications sur le fonctionnement des jouets (infrarouge, vibrations…).

Enfin, les parties en carton seront personnalisables comme bon nous semble avec de la peinture, des feutres, des autocollants…

Deux kits pour le 27 avril

En France, Nintendo Labo sera commercialisé le 27 avril en deux kits (à des prix compris entre 60 et 80 euros).

– Le Toy-Con 01 Multi-Kit dispose des éléments nécessaires pour former cinq Toy-Con différents (voiture téléguidée, canne à pêche, maison, moto, piano). Outres les cartons et le logiciel, le kit comprendra des autocollants réfléchissants, des coussinets adhésifs ainsi que des ficelles, des œillets et des élastiques.

– Le Toy-Con 02 Kit Robot permettra comme son nom l’indique d’assembler plusieurs Toy-Con pour se prendre pour un robot. Ce pack inclut donc ses propres planches de carton et accessoires.

D’autres kits sont prévus, ainsi que des journées de démonstration à la Cité des Sciences et de l’Industrie à Paris, les 2 et 3 mars prochains.

À voir si Nintendo va faire… un carton.

Pédagogie inversée et learning lab à l’école de l’immobilier de Nantes

Pédagogie inversée et learning lab à l’école de l’immobilier de Nantes

Réalité virtuelle, vitrine digitale, maquette numérique et même réseaux sociaux… Après des années d’attentisme, le secteur de l’immobilier accélère et prend le virage du numérique. Les métiers se digitalisent de fond en comble. L’expérience client, elle, est en cours de rénovation. Des bouleversements qui imposent, bien évidemment, de réaménager en profondeur les standards de la formation des futurs professionnels.

Valérie Caillard est directrice du campus ESPI de Nantes. Fin 2017, le Groupe ESPI a obtenu pour la 9e fois la 1ere place du classement Eduniversal des meilleures Licences et Bachelor en immobilier. | DR

Valérie Caillard, directrice du campus de Nantes de l’École Supérieure des Professions Immobilières (ESPI), en est convaincue, « avec la digitalisation, nous sommes en train de transformer voire de réinventer totalement les métiers de l’immobilier autant que les usages. »

La réalité virtuelle pour visiter votre future maison sans se déplacer

Fini donc le parcours du combattant lors de l’achat d’un bien immobilier. « Dorénavant, tout se passe à nouveau en l’agence. Avec la réalité virtuelle, l’expérience client est augmentée. Résultats : fini les visites à n’en plus finir. L’acheteur gagne du temps mais aussi en qualité de conseil. »

Et ce qui est vrai pour les métiers de l’agence l’est également pour les métiers de la promotion, de l’ingénierie financière ou encore de l’expertise ou de l’administration de biens. « Avec le BIM – Building Information Modeling, on est entré dans l’univers de la data. La maquette numérique permet de modéliser les informations techniques d’un bâtiment. Plus besoin de faire une déclaration pour signaler un sinistre. Tout se fait en ligne via une application dédiée. Même chose en ce qui concerne la relation syndicat de copropriété et artisans. C’est quasiment du temps réel. »

ESPI Nantes, un campus pilote

Du côté du groupe ESPI, où chaque année près de 1 500 étudiants sont formés aux différents métiers de l’immobilier, ce virage du numérique a été anticipé depuis déjà plusieurs années. « Cette révolution du numérique nous impose de penser et de former différemment nos étudiants. D’où le déménagement de notre campus nantais dans de nouveaux locaux qui va nous permettre de déployer de nouvelles méthodes d’enseignement et de mettre à disposition de nos étudiants des outils professionnels et connectés afin qu’ils s’aguerrissent à ces nouvelles pratiques. »

Dans les faits, le nouveau campus ESPI de Nantes est équipé, sur 1 800 m2, de salles de classe classiques mais également de meeting rooms dédiées au travail en groupe ainsi que d’un learning lab permettant d’utiliser la pédagogie inversée. Tous sont équipés d’écrans tactiles ou smart board ainsi que d’une connexion internet.

« Notre méthode repose sur une pédagogie inversée. Les étudiants se confrontent d’abord au réel via des cas pratiques. Et de là, nous les emmenons vers la théorie et la compétence métier, » souligne Valérie Caillard.

 Former et incuber les talents de demain

Au programme des étudiants du campus de l’ESPI de Nantes : une initiation à l’utilisation des nouvelles technologies comme les lunettes de réalité virtuelle en matière de négociation, mais également des démonstrations d’utilisation de logiciel 3D ou encore le partage d’informations ou la modération de commentaires sur les réseaux sociaux.

Des compétences indispensables quelle que soit la spécialité envisagée, insiste Valérie Caillard : « Demain, tous les professionnels de l’immobilier devront être agiles et connectés. La maîtrise des outils et des techniques leur permettra notamment de pouvoir réinvestir la relation client et de créer les conditions de la confiance. »

“Incubateur de talents de l’immobilier”

Tout au long de leur cursus, les étudiants sont par ailleurs confrontés aux professionnels en activité : « Cette interaction est nécessaire. Elle permet aux étudiants de se familiariser avec les innovations du secteur, de se connecter à l’écosystème local en identifiant les acteurs du marché de l’immobilier ainsi que de créer les conditions d’un renouveau du secteur. Notre rôle c’est d’être l’incubateur des talents de l’immobilier de demain. »

Source : Ouest France

Semaine de la “classe inversée” partout en France

Semaine de la “classe inversée” partout en France

Cette semaine est organisée partout en France -et dans plusieurs autres pays- la semaine de la classe inversée, avec notamment un congrès mercredi à Rennes. La “classe inversée” est une méthode pédagogique en plein développement : les enseignants sont de plus en plus nombreux à l’utiliser, et plus d’un million d’élèves en France seraient aujourd’hui concernés, principalement au collège et au lycée.
Il s’agit de consacrer l’essentiel du temps de classe aux activités, aux travaux en petits groupes, alors que la découverte des notions de base, la lecture d’un texte, seront faits à la maison.

Une méthode utilisée par exemple par Régine Ballonad-Berthois, prof d’anglais au collège Léonard de Vinci de Saint Brieuc, et membre de l’association “Inversons la classe” :

“En fait, on passe du “face-à-face” au “côte-à-côte” : en tant qu’enseignante, je ne suis plus face à mes élèves, mais vraiment dans ma classe, à côté de mes élèves, et je les accompagne, je réponds à leurs besoins, en fonction du travail qu’ils ont à réaliser..”

Pour Régine Ballonad Berthois, si la “classe inversée” ne doit pas être vue comme une méthode miracle et infaillible, pas question pour l’enseignante de revenir en arrière : elle constate des bienfaits évidents pour la progression des élèves :

“La différence est nette pour l’engagement des élèves. Ils travaillent en groupes, il y a une émulation qui se crée, ils vont se soutenir les uns les autres : ce ne sont pas des groupes de niveaux, mais des groupes hétérogènes. Les élèves les plus faibles posent des questions qui permettent aux plus forts de voir s’ils ont véritablement compris, et s’ils sont capables d’expliquer à leurs camarades..”

Toute la semaine, des ateliers, des rencontres sont organisés dans l’Ouest comme dans toute la France, avec parmi les moments forts un congrès, mercredi, à Rennes, au pôle numérique Rennes Villejean, de 9h à 17h.

Reportage de Yann Launay.

Jeudi ce que je veux : le p’tit bac

Jeudi ce que je veux : le p’tit bac

Le p’tit bac, c’est un joli souvenir ancré dans ma mémoire avec mon  “pépé” et mes cousins germains autour de la table ronde en bois de la cuisine de Sept Vents.
On choisissais une lettre et hop c’était parti pour les villes d’Europe, les mammifères, les plantes, les bonbons et tout le dictionnaire des catégories terrestres commençant
par la lettre …

Pour le nouveau Bac, le grand oral est prévu pour une durée de 30 minutes. 30 minutes du jeu des 1000 euros ?  de questions pour un Champion ? de culture générale ?

Heureusement on y jouera pas toute son année puisque 40% sera le résultat du contrôle continu et que les 2 grandes épreuves écrites choisies et passées au Printemps permettront d’obtenir une majorité de points. Mais si je compte bien, moins d’épreuves écrites, plus d’oral, l’écrit continuera donc de diminuer et l’orthographie risque encore d’en payer les pots cassés. Au secours Voltaire ! Au secours Malherbe !  Voilà un nouveau coup joué en votre défaveur… Dommage en début d’année on nous annonçait plus de dictées à l’école…. Est bien rationnel tout cela ?

Votre rédac’chef

 

Le nouveau bac

Le nouveau bac

Fin des séries L, ES et S, un grand oral et une dose de contrôle continu : les propositions pour réformer le baccalauréat

Une nouvelle version du bac est proposée au ministre de l’Education nationale, mercredi, par l’ex-directeur de Sciences Po Lille, Pierre Mathiot.

La réforme du baccalauréat se précise : les filières du bac général sont amenées à disparaître pour être remplacées par un tronc commun et des options à la carte. C’est le sens des propositions avancées par Pierre Mathiot, ancien directeur de Sciences Po Lille, pour réformer le bac comme le souhaite le gouvernement. franceinfo révèle les grandes lignes de ce rapport remis mercredi 24 janvier au ministre de l’Education nationale.

Un tronc commun et des “majeures”

L’auteur du rapport préconise de supprimer les séries L, ES et S au profit d’un tronc commun et d’options aux choix. Le tronc commun à tous les élèves doit être composé, selon Pierre Mathiot, de l’histoire-géographie, des mathématiques, des deux langues vivantes, de l’EPS, du français jusqu’en première et de la philosophie en terminale.

À ces matières obligatoires s’ajoutent, à partir de la seconde, des options qui deviendraient “des majeures” en première et en terminale. Les lycéens choisiront parmi une dizaine de combinaisons de deux matières : mathématiques-sciences de la vie et de la Terre, lettres-langue vivante, sciences économiques et sociales / mathématiques… Pour ceux qui se souviennent, ces combinaisons correspondent quasiment aux anciens bacs A, B, C, D et E.

La nouveauté, c’est que les élèves choisiront ces majeures pour chaque semestre et pourront décider de les modifier entre la première et la terminale. Au fil des semestres, les élèves auront davantage d’heures de cours dans ces matières.

Quatre épreuves écrites en terminale

Pour l’examen du baccalauréat, le rapport Mathiot suit la feuille de route établie par Emmanuel Macron pendant sa campagne. Le président de la République souhaitait quatre épreuves (contre dix à quinze actuellement) et le reste en contrôle continu. L’ancien directeur de Sciences Po Lille ne change rien d’abord à l’épreuve de français. Elle aura toujours lieu en première. En revanche, il modifie le reste. Quatre épreuves seront au programme de la terminale. Elles compteront pour 60% de la note finale. Au retour des vacances de Pâques, les élèves passeront les examens des deux majeures. En juin, il restera la philosophie.

Un grand oral, et la fin de l’oral de rattrapage

Grande nouveauté, les lycéens passeront un grand oral. Il est question d’une sorte d’exposé d’une demi-heure sur un sujet transversal que l’élève aura travaillé dans l’année. Il pourra porter sur une ou plusieurs matières. Cela rappelle un peu les TPE (travaux personnels encadrés) qui sont une épreuve interdisciplinaire en première, ou, cela ressemble “au projet” en bac technologique.

Le “repêchage”, lui, est remanié pour les candidats qui obtiennent entre 8 et 10 à l’examen. Les oraux seront remplacés par un examen du livret scolaire de première et terminale.

Le flou autour du contrôle continu

Pierre Mathiot a choisi de ne pas trancher sur la question du contrôle continu. Il représenterait 40% de la note, les quatre épreuves écrites passées en terminale et le grand oral comptant elles pour 60% (10% pour le français pour tous les candidats, 25% pour les deux épreuves du printemps, 10% pour la philo et 15% pour le grand oral).

Pierre Mathiot propose plusieurs pistes pour le contrôle continu. La première est la prise en compte des notes de première et de terminale. Mais elle comporte le risque d’un bac à valeur inégale selon que l’on vienne d’un lycée prestigieux ou non.

Deuxième possibilité évoquée dans le rapport : les lycéens passeraient des examens académiques ou nationaux ou communs à leur lycée à chaque fin de semestre, des sortes de partiels anonymes. Cela paraît aussi lourd à organiser que le bac actuel.

Troisième option : un mélange entre les deux solutions précédentes. Sur ce point, plusieurs ministres par le passé ont échoué. Le dernier en date est François Fillon en 2005. Finalement, Pierre Mathiot renvoie la “patate chaude” à Jean-Michel Blanquer. Pour décider, le ministre de l’Education nationale devrait mener une concertation et annoncer sa réforme du bac dans les prochaines semaines pour un nouveau bac opérationnel dans trois ans.

(source France Tv)