par admin | Jan 29, 2022 | Apprentissage, Collectif AmiFor, Communication, Digital, Education, Enseignement, evenement, Formation, Innovation, Intelligences multiples, numérique, Salons
Nina Blanchot, professeure de lettres a lancé un projet éditorial original avec un premier volume particulièrement stimulant dans une optique de “passeurs culturels” avec une autre professeure de lettres également, Sarah Alami.
À elles deux, elles ont su trouver des pistes de réflexion autour de cinq grandes séquences complètes.
Mme Alami tâche de définir quelques grandes lignes de la pédagogie qui lui tiennent à cœur.
Le livre “Comment lire de vieux textes avec de jeunes élèves ?” est aussi bien dédié aux professeurs débutants soucieux d’apprendre à construire une séquence, qu’aux enseignants chevronnés désireux d’approfondir les conversations pédagogiques commencées en salle des professeurs.
Ainsi que Philippe Bihouix, ingénieur et co-auteur de l’essai “Le désastre de l’école numérique” qui est ressorti en format de poche en novembre 2021.
Il dit qu’avec moins de technologies éducatives dans les écoles, celles-ci pourraient être “un espace de désintoxication numérique” pour nos enfants. Elles pourraient jouer un rôle de protection, d’apaisement mental et sanitaire mais également d’amortisseur de l’évolution de la société au lieu de les livrer aux multinationales de l’informatique dès leur plus jeune âge. Le numérique doit, selon lui, garder une place mais simplement en tant que matière car il ne faut pas confondre : éduquer “au numérique” et éduquer “par le numérique”.
“L’école à l’ère du numérique est de plus en plus présente depuis le premier confinement en mars 2020. La culture numérique commence à être plus souvent utilisée même en école maternelle.
EdTech ou Technologies Éducatives sont en fait toutes ces solutions numériques qui proposent une nouvelle expérience de l’apprentissage grâce à de nouveaux moyens (applications mobiles, plateformes, sites internet).
L’apprenant d’aujourd’hui n’est ni celui d’hier ni celui de demain car l’éducation est en métamorphose en permanence.
De nombreuses entreprises ont contribué à façonner de nouvelles manières d’apprendre parfois reprise au sein des établissements scolaires. Les entreprises du secteur sont diverses et variées de la digitalisation de la pédagogie en passant par l’expérience de l’apprenant et des processus de gestion ou d’apprentissage.
D’après Aude Géneau, ancienne enseignante et entrepreneuse, il existe une certaine “complémentarité” entre les solutions numérique et papier.
Son carnet d’écriture “Plume” combine les deux formats. Les enfants peuvent écrire leurs histoires et les faire corriger par le biais d’une application. Cela permet d’évaluer la progression de l’enfant. L’accompagnement numérique apporte également un soutien supplémentaire pour les enfants en difficulté comme les dyslexiques par exemple, qui peuvent à la fois lire et écouter une histoire.
Rédigé par Chloé Boisyvon, stagiaire AMIFOR.
Publié par Anaïs Marchegiani, responsable communication digitale AMIFOR.
par admin | Jan 29, 2022 | Apprentissage, Bien être, Collectif AmiFor, Communication, Education, Enseignement, Evaluation, evenement, Flexibilité, Formation, Hétérogénéité des élèves, Innovation, numérique, Salons
La pédagogie positive s’intéresse à l’environnement dans lequel l’enfant évolue afin de définir précisément ses attentes et ses difficultés.
Cette méthode prend en compte les aspects cognitif affectif et somatique (esprit, cœur, corps).
La pédagogie positive prend en compte les émotions et les sentiments de l’enfant. A travers la roue des besoins, il est possible de percevoir les attentes de l’enfant selon différentes situations.
Il est important de considérer les besoins des enfants et de les écouter pour apporter un bon climat social entre l’élève et l’enseignant. Cela favorise considérablement le bon développement cognitif et affectif des enfants. C’est également un moyen pour l’enseignant de mieux comprendre l’élève et de pouvoir bien réagir à ses comportements.
Une approche bienveillante et respectueuse envers l’élève pour lui assurer les meilleurs apprentissages.
Les objectifs de cette pédagogie sont de prouver qu’il est possible d’apprendre tout en s’amusant, de permettre à l’enfant de développer sa confiance en lui ou de lui redonner confiance en ses capacités et de favoriser des apprentissages durables.
La pédagogie positive au sein de notre centre de formation AMIFOR
Au sein de notre collectif, Sylvie Scheirlinck et Julie Mialon proposent ainsi des formations à ce sujet aux établissements scolaires afin de partager cette méthode au plus grand nombre et de montrer ses enjeux positifs.
Etant toutes les deux psycopédagogues, elles sont intervenu dans un webinaire organisé par l’association Phobie Scolaire afin de nous présenter la psychopédagogie positive, fortement en lien avec la pédagogie positive.
https://www.youtube.com/watch?v=dVNwSYEWL9w
Rédigé par Chloé Boisyvon et Anaïs Marchegiani.
Publié par Anais Marchegiani, responsable communication digitale AMIFOR.
par admin | Déc 21, 2021 | Apprentissage, Collectif AmiFor, Communication, Digital, Education, Enseignement, evenement, Formation, Innovation, Intelligences multiples, numérique, Salons
Lors de la 25ème édition du salon Éducatec, l’équipe d’ADOK’A Learning® était présente afin de gagner en visibilité, de se présenter au plus grand nombre et de montrer l’utilité de l’application aussi bien pour les enseignants et formateurs que pour les élèves ou étudiants.
Le salon professionnel de l’innovation Éducative a accueilli en 2019, 12018 visiteurs dont 1910 VIP. Cette année-là, 180 porteurs de projets étaient présents.
Ce rendez-vous de 3 jours est incontournable pour celles et ceux qui inventent aujourd’hui le futur de l’éducation. Des rencontres entre professionnels, des échanges lors de conférences autour de la technologie, la pédagogie, l’éducation et l’innovation. C’est grâce à ce rendez-vous qui a eu lieu Porte de Versailles que peuvent se réunir les acteurs du numérique et de l’éducation.
L’édition 2021 est tournée autour de cette question : ” Quel numérique éducatif pour le monde d’après ?”
Plusieurs ateliers, conférences se sont déroulés du 24 au 26 novembre 2021, voici quelques-unes des thématiques abordées lors de celles-ci.
“Le développement de l’école numérique peut-il favoriser la continuité pédagogique”.
Il est alors question de co-éducation, mise au cœur des enjeux éducatif.
“2021 : Qu’attend-t-on encore du numérique à l’école ?”.
La provocation de cette question est mise en œuvre afin de permettre aux participants d’élargir leur champ de vision sur le numérique éducatif.
“En quoi le numérique interroge-t-il la forme scolaire ?”
De nouvelles interrogations émergent sur les avantages et les limites de ces nouvelles méthodes d’enseignements.
“Les enjeux éthiques en matières de données d’éducation”.
Après la récupération de données d’éducation, elles serviront à éclairer le pilotage du système éducatif. Ainsi le ministère de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports élabore une gouvernance des données afin d’en garantir un meilleur traitement, collecte, circulation et valorisation.
A travers ce genre de salon, la pédagogie et l’enseignement évoluent grâce à la présence de plusieurs exposants qui proposent des solutions pour les élèves ou pour les enseignants.
ADOK’A Learning®, à quant a elle trouver des émules. Des premiers contacts ont été pris ! L’application a trouvé sa place dans le monde du numérique.
Prochain rendez-vous, du 30 novembre 2022 au 2 décembre 2022.
Rédigé par Chloé Boisyvon, stagiaire AMIFOR.
Publié par Laura Leplain, responsable communication digitale AMIFOR.
par admin | Avr 18, 2019 | Collectif AmiFor, Digital, evenement, je dis ce que je veux, Web
Jeu vidéo « Assassin’s Creed Unity », reconstitutions historiques en 3D ou encore modélisations d’architectes numériques offrent une documentation désormais précieuse pour reconstruire le monument ravagé par les flammes.
Des pixels pour sauver des poutres. Après l’incendie qui a ravagé une partie de Notre-Dame de Paris lundi 15 avril, les futurs architectes de la reconstruction du monument gothique pourront s’appuyer sur un matériel inédit du temps où les premières pierres de la cathédrale furent posées : l’imagerie 3D et les reconstitutions virtuelles.
Certaines sont très connues du grand public. Beaucoup de joueurs de jeux vidéo se sont émus de voir flamber ce qui a été, pour eux, un terrain de jeu grandeur nature : en 2014, l’éditeur français Ubisoft avait en effet reconstitué de manière libre le Paris du XVIIIe siècle dans le jeu d’action Assassin’s Creed Unity, et avait fait de Notre-Dame le cœur vibrant de l’aventure. Plus de 10 millions de joueurs ont visité virtuellement la cathédrale, et même posé le pied sur cette toiture ravagée, sur cette flèche effondrée.
« Le rôle de la 3D, c’est de transmettre »
Si le jeu vidéo s’est naturellement invité dans les conversations du grand public, bien d’autres entreprises de reconstitution numérique de Notre-Dame existent déjà. Moins connues, plus précises, elles pourraient offrir un matériau de premier plan pour aider à reconstituer certaines parties détruites de Notre-Dame de Paris.
Un article William Audureau, à retrouver dans le journal Le Monde.
Source : Le Monde
Liens : https://www.lemonde.fr/pixels/article/2019/04/16/notre-dame-de-paris-les-reconstitutions-en-3d-peuvent-aider-a-la-reconstruction_5451178_4408996.html
par admin | Fév 7, 2019 | Communication, Education, Enseignement, evenement, Intelligences multiples, je dis ce que je veux, Réseau, Salons
Le profil intelligences multiples permet de donner quelques indices quant à l’orientation possible des jeunes. C’est pourquoi participer à un salon, un évènement autour de l’orientation en aidant les jeunes à découvrir leur profil et à travers celui-ci pouvoir aiguiller vers des métiers potentiels est une bonne initiative.
Sur Caen, ce jeudi 7 février, l’équipe AmiFor animera un stand où seront bien venus les collégiens, lycéens, étudiants et demandeurs d’emploi. Vous mêmes dans vos écoles, sur les forum pouvez monter un rendez vous Intelligences Multiples. Comment ?
Un questionnaire mis au point par vos soins pour votre cible étudiant ou collégien, une représentation (sous forme de radar, pas exemple) et une explication des profils majeurs, la remise d’un guide et de quelques conseils de visite au jeune.
Une utilisation différente de la méthode Gartner ! Suivez nous nous publierons les résultats et le compte rendu de cette journée dès demain !
Mc Lefebvre
par admin | Mai 7, 2018 | Etablissements et projets, evenement, Industrie et services, Neurosciences, Ressources numériques, Salons
Les samedi 19 mai et dimanche 20 mai, à la Cité des Sciences et de l’Industrie de Paris, se tiendra l’évènement “Si les neurosciences m’étaient contées”. L’occasion pour les visiteurs de découvrir un monde imaginaire où tout ce qu’ils croient savoir sur ces drôles d’images qui peuplent leurs rêves sera chamboulé !
Cet évènement particulier se tiendra donc à la Cité des Sciences et de l’Industrie parisienne qui regroupe un grand nombre d’activités mêlant le meilleur de la culture scientifique et du loisir culturel : expositions, bibliothèque, conférences et débats, médiation culturelle, traitement de l’actualité, espaces ressources ou de services et une offre exceptionnelle pour les enfants.
Save the date !
par admin | Avr 6, 2018 | Apprentissage, créativité, Digital, Education, Enseignement, evenement, Formation, Innovation, Investissement numerique, Jeux d'apprentissage, Pédagogie inversée, Ressources numériques, Salons
Il y a quelques jours, le pôle de compétitivité des contenus et usages numériques Imaginove, a rassemblé à Lyon plusieurs start-up pour présenter de nouvelles manières d’apprendre.
La réalité virtuelle fut l’une des premières innovations à être abordée pendant cette conférence. Bien qu’elle existe depuis près de 30 ans en France, elle n’a jamais été si présente. UniVR Studio (Villeurbanne) a donc eu l’idée de l’inclure dans les formations professionnelles. Le public ne se contentera plus de lire une formation, il pourra la vivre en temps réel avec les personnes incluses dans la réalité virtuelle.
Dans la même optique, InTeach Training (Lyon 1er), a eu l’idée d’une application mobile qui propose des formations très courtes (de cinq à dix minutes) tous les jours. L’utilisateur peut progresser à son rythme et de manière linéaire grâce à la mise en pratique.
Les petits n’ont pas été oubliés et ont aussi le droit à leurs innovations. SBT Human(s) Matter (Lyon 2ème) a lancé une application éducative sous forme de pédagogie inversée. L’application “P’tits Profs” donne la possibilité aux enfants d’apprendre en endossant le rôle d’un maître ou d’une maîtresse.
Cabri Express (Fontaine/Isère) propose un remède à l’éternel problème des mathématiques. La start-up a mise au point un kit mathématiques “tout-en-un”. Les élèves peuvent jouer et comprendre en s’amusant en ayant recours à une calculatrice technique et graphique, un éditeur d’équations et à de la géométrie dynamique.
Pour ceux qui souhaiteraient se cultiver, Audiovisit (Caluire-et-Cuire) propose une application, ainsi qu’un audio et un visioguide qui donnent accès à plus de 600 œuvres. Pour l’apprentissage des langues, Switch Book (Lyon 3ème) a mis au point une application qui permet de lire des romans bilingues et de switcher rapidement d’une langue à l’autre en français, anglais, allemand, espagnol, portugais…
Le pôle de compétitivité Imaginove a donc permis à tous ces acteurs de se rencontrer et d’échanger le temps d’une journée.
par admin | Avr 4, 2018 | Apprentissage, Canada et pédagogie, créativité, Education, Enseignement, Etablissements et projets, evenement, Formation, Industrie et services, Innovation, Intelligences multiples, Management, Salons
Samedi 17 mars dernier s’est déroulée la sixième édition de TEDxHECMontréal. Une conférence qui tournait autour des “changements qui importent”. Mais quels sont ces changements et quel est leur impact sur nos vies ?
Jean-François Bertholet, professeur à HEC Montréal, a abordé le sujet des organisations où il fait bon travailler. Loin du climat malsain instauré par le capitalisme et la recherche du profit. Un climat qui déteint sur les chefs d’entreprises mais aussi sur leurs salariés qui finissent par être totalement épuisés. Certains défendent pourtant d’autres alternatives comme la pronoïa. Une organisation où autrui et la communauté sont mis en avant. Un altruisme qui découlerait sur le salarié, heureux de donner son maximum pour l’entreprise. Un cercle vertueux avec des effets positifs sur les profits aussi. L’entreprise du 21ème siècle ne doit plus être individualiste mais tournée autour de la communauté.
Vincent Falk, photographe français, a quant à lui abordé la question de l’intelligence artificielle et du remplacement de l’homme par la machine sous un regard bien différent de ce que l’on entend dans les médias. Selon lui, combattre ce changement est inutile. Il faut seulement savoir en tirer le positif. Pour gagner contre la machine, il faut valoir plus que la machine en pensant différemment. Toutes nos expériences humaines et professionnelles nous apportent des compétences diverses. La clé est de savoir réutiliser à bon escient ces compétences. Il faut donc diversifier les expériences, mettre en avant la différence, la créativité et la flexibilité. Ce sont ces expériences qui nous rendent plus riches que la machine.
Enfin, Niels Billou, sommité du design thinking, estime que l’idée de réussite doit aussi être revisitée. Elle ne peut plus se mesurer à la possession personnelle. La vraie réussite est maintenant collective. C’est en écoutant les besoins de l’autre et en créant à ses côtés que l’on peut résoudre un réel problème et contribuer à la société.
“Le monde évolue plus vite qu’on n’aurait pu l’imaginer. En 18 ans, plus de choses ont changé que durant le siècle précédent. Demain nous devrons être préparés à un avenir différent.”
par admin | Mar 23, 2018 | Apprentissage, Education, Enseignement, evenement, Pédagogie inversée
Depuis le 19 mars se tient la semaine de la presse et des médias dans l’école. Cette édition 2018 avait pour thématique principale “D’où vient l’info ?”. Son but est de répondre aux enjeux liés à l’Education aux Médias et à l’Information.
A chaque printemps depuis maintenant 29 ans, plus de 200 000 enseignants de tous niveaux et de toutes disciplines participent à la semaine de la presse et des médias dans l’école. Le but de cette initiative est d’aider les petits et grands à comprendre le système des médias, à former leur jugement critique, à développer leur goût pour l’actualité et à forger leur identité de citoyen. Pour cette occasion, près d’un million de journaux, de nombreuses ressources gratuites en ligne et des ateliers avec des journalistes sont offerts. 1850 médias s’inscrivent chaque année à l’opération.
A une époque régentée par les réseaux sociaux et les fakes news (fausses informations) qui se propagent à vitesse grand V, il est très important d’apprendre à nos enfants à discerner le vrai du faux et des réponses précises sur le métier des journalistes sont là pour les y aider.
“Est-ce que le journaliste dit toujours la vérité ?”, “Comment distinguer une fausse information d’une vraie ?”, “Quels objectifs ont les journalistes quand ils font un reportage ?”, “Est-ce que les journalistes savent tout ce qu’il se passe dans le monde ?”… Autant de questions et de réponses qui permettront aux plus jeunes mais aussi aux moins jeunes d’y voir plus clair sur le monde qui nous entoure.